Dans mon temps, l'intimidation ou Bullying à l'école était simple. La victime était toujours ridiculisée, poussée, parfois violenté et avait presqu'a tous les jour des rendez-vous de casse gueule à la fin des classes.
Une réputation pouvait être ''scappé'' un lundi matin si une fille avait été trop loin pendant un party pendant le week-end. Certaines filles étaient transformé en ''salope'' pour avoir été un peu trop longtemps au toilette pendant un party.
Un autre devenait gai juste parce qu'il avait des manières un peu plus raffinés que les autres...
Mais tout cela restait dans le cadre de l'école. A ce moment, une solution était de changer d'école pour recommencer à neuf...
Mais avec l'internet, la cyber-intimidation est très sérieuse. Des photos et des vidéos de jeunes filles ou de garçons victimes de cette nouvelle façon de faire se retrouvent sur internet sur des sites d'échanges (chat).Un gars devient soudainement gai selon les dires de certains ou les cyber-intimidateur vont même plus loin en encourageant les autres membres à frapper (agresser) la victime même s'ils ne la connaisse pas. Une photo est toujours disponible...
Changer d'école ne change plus grand chose et la vie de ces victimes sont souvent brisé à jamais.
Voici le début d'un commencement. Par contre, les enseignants ne le ferait pas pour aider les jeunes qui sont victime de cyber-intimidation mais pour protéger leurs propres membres...
La Presse Canadienne
Moncton
Des enseignants d'un peu partout au pays, réunis samedi à Moncton, au Nouveau-Brunswick, ont réclamé que l'intimidation par Internet devienne une infraction criminelle au sens de la loi.
Les membres de la Fédération canadienne des enseignants, présents à la réunion annuelle de l'organisation, ont voté unanimement en faveur d'une résolution incitant le gouvernement fédéral à s'attaquer plus efficacement à la cyberintimidation.
Ils ont soutenu que le Code criminel devait être renforcé et que les services de police devaient avoir plus de moyens pour mener leurs enquêtes.
La Fédération a fait valoir que la cyberintimidation - qui cible à la fois les enseignants et les étudiants par l'entremise de courriels, de messages textes et de sites de réseautage - était une problème criant.
L'association, qui représente 220 000 enseignants à travers le pays, a déclaré que la cyberintimidation était devenue un enjeu de sécurité et de santé pour les professionnels de l'éducation.
Les membres présents à la réunion ont également élu leur nouvelle présidente. Il s'agit de l'ancienne présidente du Syndicat des enseignants de la Nouvelle-Ecosse, Mary Lou Donnelly.