Complices de fugues ?

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Publié le 28 décembre 2009 à 05h00
Squat Basse-Ville: plus du double de fugueurs hébergés en six ans
Ian Bussières
Le Soleil


(Québec) Selon sa directrice générale Louise Fortin, une fermeture de Squat Basse-Ville en cas d'incapacité de payer d'éventuelles amendes imposées par l'administration municipale serait catastrophique pour les jeunes fugueurs de la capitale, dont le nombre a plus que doublé en six ans.

«En 2003, 335 mineurs ont été hébergés chez nous et 693 y ont effectué des visites pour manger, prendre une douche ou laver leurs vêtements. Cette année, en date du 14 novembre, on parlait plutôt de 770 jeunes hébergés et 2071 visiteurs», explique Mme Fortin, qui attribue la situation à la nouvelle Loi sur la protection de la jeunesse adoptée depuis deux ans


Squat Basse-Ville dispose de 10 lits où les jeunes en fugue peuvent passer trois nuits. Ils doivent ensuite se soumettre à une période de carence de 10 jours, mais peuvent par la suite y retourner pour trois autres nuits.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/200912/27/01-934387-squat-basse-ville-plus-du-double-de-fugueurs-heberges-en-six-ans.php

Est-ce que les parents qui cherchent leurs enfants ont le droit d'entrer ?

encore des subventions, un estie de gang de téteux qui se cherchent une raison d'exister.....à moins que le jeune soit abusé, je suis contre ces maisons à dix lits.....ça fait quoi? ça encourage le jeune à se sauver de chez-lui !!

quand allons-vous arrêter ce maternage à outrance

marie-jo a écrit:

.....à moins que le jeune soit abusé....

S'il y a un " à moins " dans cette affaire ces maisons doivent exister.
Mais je ne crois pas que ce soit le cas.

Ce genre de refuge peut sauver des vies. Ces jeunes ne choisissent pas le milieu dans lequel ils sont nés. Que mes impôts servent à lancer une corde à des jeunes naufragés de la vie, j'en suis ravit. C'est souvent des professionnels passionnés qui travaillent dans ces boîtes. Je préfère que ce soit eux qui tendent la main à un jeune perdu plutôt qu'un pimp ou un vendeur de dope.