Pendant longtemps les graffitis politiques au Québec étaient presque tous du genre «Québec libre» ou encore «English shit go home». Puis, au cours des années 2000, le vandalisme politique était pratiquement disparu.
Mais ce genre de vandalisme est peut-être en train de revenir, sous une nouvelle forme.
Ce matin, dans la rampe allant de la rue St-Jacques vers l'autoroute Ville-Marie Est, j'ai pu voir, sur un des piliers de ladite autoroute, l'inscription suivante : «Tremblay + Hamad = honte».
Je ne veux pas encourager le vandalisme, mais... j'admets que j'ai eu un sourire en la voyant celle-là !
-- Le couillon anonyme