La Mata Hari du 450

Depuis déjà un moment, je me demande si Maxime Bernier est un parfait imbécile ou tout simplement un type sans culture... Maintenant, je crois avoir trouvé une réponse:

C'est un parfait imbécile sans culture et surtout sans jugement...

Faire des déclarations plus que maladroites sur l'afghanistan, se promener avec des Jos Louis sur une base militaire ou encore déclarer que Jean-Bertrand Aristide était encore le chef d'État d'Haïti alors que celui-ci avait était foutu à la porte du pays depuis un bout ne suffisait pas...

Maintenant, on apprend que le PLay-Boy du PCC fréquentait une ex-Mom Boucher!

Quel Con ce mec!

Glané sur Cyberpresse:



En août dernier, quand Maxime Bernier s’est présenté à la résidence de la gouverneure générale pour être assermenté comme ministre des Affaires étrangères, tous les regards se sont portés sur sa partenaire, Julie Couillard, et sa robe audacieusement décolletée. Depuis, le premier ministre Stephen Harper a appris que cet ancien mannequin avait eu des relations suivies avec les Hells Angels dans les années 90.

Il n’était question que de ça, mercredi, à Ottawa. M. Bernier a cessé de fréquenter Mme Couillard il y a un certain temps, mais ils ont été vus encore ensemble il y a deux mois à une réception au Château Laurier, chic hôtel de la capitale. On ignore si Mme Couillard, 38 ans, a continué de côtoyer le milieu criminel depuis son divorce d’avec un ancien membre des Rockers de Montréal, en 1999.

Néanmoins, les chefs du Parti libéral et du Bloc québécois se sont dits préoccupés par cette liaison. Ce n’est pas la première fois que le ministre étonne les parlementaires, ont souligné des députés de l’opposition. M. Bernier a fait l’objet de moqueries quand il a été filmé en Afghanistan en train de distribuer des petits gâteaux Vachon aux soldats canadiens.

Plus récemment, il a été critiqué pour avoir ouvertement réclamé le départ du gouverneur de Kandahar, ce qui a été perçu comme une ingérence peu diplomatique dans les affaires d’un autre pays. Il y a quelques mois, il s’était attiré des railleries pour avoir dit que le président d’Haïti était Jean-Bertrand Aristide, alors que ce dernier a été chassé du pouvoir en 2004 et qu’il a été remplacé depuis par René Préval.

M. Bernier est perçu à Ottawa comme un ministre susceptible d’embarrasser Stephen Harper. Dimitri Soudas, attaché de presse du premier ministre, s’est montré peu loquace quand La Presse lui a demandé de commenter sa liaison avec Mme Couillard. «Contactez le directeur des communications de Maxime Bernier, a-t-il dit. En ce qui concerne le cabinet du premier ministre, ce n’est pas à nous de commenter.»

Neil Hrab, directeur des communications de M. Bernier, n’en a pas dit beaucoup plus. «Votre question (sur la liaison avec Mme Couillard) concerne une ancienne amie du ministre et vous devriez la contacter sur ce sujet, a-t-il dit. C’est une question privée.» Jointe chez elle, à Laval, Mme Couillard a dit : «Je n’ai rien à dire», puis elle a raccroché.

Un proche de Mom Boucher

Mme Couillard a été la conjointe de Gilles Giguère, bras droit de l’usurier Robert «Bob» Savard, proche de Maurice Boucher, des Hells Angels Nomads. Elle a vécu avec lui pendant trois ans, jusqu’en 1996. La dernière fois qu’elle l’a vu, Giguère a quitté leur domicile de l’est de Montréal pour se rendre à un rendez-vous. Deux jours plus tard, on a retrouvé son corps criblé de balles à L’Épiphanie, dans un fossé longeant une petite route de campagne. Il aurait été éliminé parce qu’on le croyait passé dans le camp de la police.

Quatre mois auparavant, Giguère avait été accusé relativement à une affaire de complot de meurtre et d’extorsion d’une agente d’immeubles de l’ouest de Montréal. Également soupçonnée avec son père, Julie Couillard avait été arrêtée et détenue pendant 18 heures par les policiers de l’escouade Carcajou de la Sûreté du Québec. Elle a été relâchée et n’a jamais été accusée. Elle a porté plainte au Commissaire à la déontologie policière pour arrestation abusive.

Cette rocambolesque histoire, qui impliquait également le caïd Robert Savard (il a plus tard été lui aussi victime d’un meurtre), ainsi que l’ancien policier Gaétan Rivest et l’avocat Gilles Daudelin, s’est terminée en queue de poisson en Cour du Québec. Au moment de son assassinat, en pleine guerre des motards, Giguère attendait son procès pour la possession illégale de quatre mitraillettes et 50 livres de marijuana trouvés dans une cache de Montréal-Est.

Un an plus tard, Mme Couillard a épousé Stéphane Sirois, membre des Rockers de Montréal, le clan guerrier des Hells Angels Nomads. En 1997, Maurice Boucher lui donne un ultimatum : il devait choisir entre Julie Couillard et les Rockers. Sirois a quitté les Rockers et le trafic de drogue. Après avoir rompu avec elle, il a commencé à travailler pour la police en mars 1999, en infiltrant ses anciens compagnons d’armes. Son divorce a été prononcé trois mois plus tard.

Duceppe et Dion inquiets

Interrogé par les journalistes, hier, le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a fait part de ses inquiétudes. «C’est préoccupant, a-t-il dit. On verra ce qui en est. Toute personne qui est avec un ministre doit faire l’objet d’une enquête de sécurité. Y a-t-il eu enquête ou pas? (…) Cette personne était-elle liée à des crimes ou à des personnes ayant commis des crimes ? Est-ce que le ministre le savait ? Est-ce que la GRC l’a vérifié ? Est-ce que le premier ministre le savait?»

Stéphane Dion, chef du Parti libéral, a déjà été ministre. Un journaliste lui a demandé si, à sa connaissance, des enquêtes sont faites sur les conjointes des ministres lorsque ces derniers sont assermentés. «La réponse est oui, a dit M. Dion. Et c’est pourquoi M. Bernier et le gouvernement doivent s’expliquer et dire aux Canadiens si les précautions ont été prises au point de vue de la sécurité nationale ou pas.»

Ce qui prouve par une simple règle de trois que cet homme est un type qui ne mérite pas sa place dans le conseil des ministres au fédéral.

Imaginez, avec le jugement dont il fait preuve depuis 2 ans, que le bon Maxime doive prendre une décision importante pour l'avenir du pays dans le cadre de relations internationales avec des pays qui ont une mêche très courte comme la Chine, le Mexique, le Vénézuela sans parler de la Corée du Nord ou de la Russie...

Si Harper ne le criss pas à la porte du conseil des ministres, c'est que celui-ci est encore plus con que son idol (GWB)

c'est pas la première fois qu'on voit ça....
La fierté pour un homme de se promener en compagnie d'une pin-up
juste pour prouver qu'il bande dur et bien...
Policiers, hommes de la justice, hommes de pouvoir sont beaucoup en parallèles avec les motards et les milieux criminalisés avec une seule différence..... la badge..... ou le titre.

Les deux cerveaux de l'homme.. vous connaissez ??? quand il s'agit de cul...
le petit et le gland.

Bonne journée
rebelle 59

Relisez ce bout de texte en vous disant que Coulliard est un indicatrice
de police. Ca pourrait expliquer le comportement de Bernier.

Citation :

Mme Couillard a été la conjointe de Gilles Giguère, bras droit de l’usurier Robert «Bob» Savard, proche de Maurice Boucher, des Hells Angels Nomads. Elle a vécu avec lui pendant trois ans, jusqu’en 1996. La dernière fois qu’elle l’a vu, Giguère a quitté leur domicile de l’est de Montréal pour se rendre à un rendez-vous. Deux jours plus tard, on a retrouvé son corps criblé de balles à L’Épiphanie, dans un fossé longeant une petite route de campagne. Il aurait été éliminé parce qu’on le croyait passé dans le camp de la police.

Quatre mois auparavant, Giguère avait été accusé relativement à une affaire de complot de meurtre et d’extorsion d’une agente d’immeubles de l’ouest de Montréal. Également soupçonnée avec son père, Julie Couillard avait été arrêtée et détenue pendant 18 heures par les policiers de l’escouade Carcajou de la Sûreté du Québec. Elle a été relâchée et n’a jamais été accusée. Elle a porté plainte au Commissaire à la déontologie policière pour arrestation abusive.

Cette rocambolesque histoire, qui impliquait également le caïd Robert Savard (il a plus tard été lui aussi victime d’un meurtre), ainsi que l’ancien policier Gaétan Rivest et l’avocat Gilles Daudelin, s’est terminée en queue de poisson en Cour du Québec. Au moment de son assassinat, en pleine guerre des motards, Giguère attendait son procès pour la possession illégale de quatre mitraillettes et 50 livres de marijuana trouvés dans une cache de Montréal-Est.

Un an plus tard, Mme Couillard a épousé Stéphane Sirois, membre des Rockers de Montréal, le clan guerrier des Hells Angels Nomads. En 1997, Maurice Boucher lui donne un ultimatum : il devait choisir entre Julie Couillard et les Rockers. Sirois a quitté les Rockers et le trafic de drogue. Après avoir rompu avec elle, il a commencé à travailler pour la police en mars 1999, en infiltrant ses anciens compagnons d’armes. Son divorce a été prononcé trois mois plus tard.

Ne serait-ce que pour des raisons d'apparences ou pour des raisons de
sécurité personnelle Bernier n'aurait pas du toucher à ca anyway.

Je plains les hommes de cet âge qui pense avec leur queue plutôt qu'avec
leur cerveau. Ils doivent avoir eut une vie sexuelle vraiment plate ou une
enfance fucké.

Question: Combien de temps ça a pris a la GRC de savoir qui était la madame?
Reponse: entre 3 et 30 secondes
Question: Combien de temps ils ont garder l'information pour eux afin de...?
Reponse: Nous le serons jamais, mais ça a pas du marche car ça a coulé dans les médias.

Canada1 a écrit:

......Question: Combien de temps ils ont garder l'information pour eux afin de...?

Si les journalistes n'avaient pas sorti la nouvelle (qui a sorti la nouvelle by the way?) il la garderait encore pour eux.

La GRC est dans la merde dans plusieurs dossiers. Tenir un cabinet
ministériel par les gosses c'est sécurisant.

s'il avait été averti la première journée ou la première semaine.......pas sur qu'il aurait continué


c'est annoncé 3 mois après la rupture....était-t-il au courant?

si il était au courant:c'est un cave! sinon c'est une victime,j'ai jamais demandé de pedigree avant de coucher avec une femme!

Maxime Bernier-Nathalie Simard... Même combat de victimes!

Pas de jugement= victime au Canada?

Victime au Québec = Pas de jugement?

En tout cas, il est plus avec cette dame au parcours douteux.....Boiclair lui? On l'a gardé au sein du parti bien qu'il ait consommé son produit grisant dans la pratique de ses fonctions....on l'a défendu comme si ce n'était rien sa consommation....
Scandale pour scandale, je préfère celui de Bernier.

Le scandale dans les deux cas c'est le manque de jugement de deux
ministres. Pour que notre pays soient respecté dans le monde, donc moi,
il est nécessaire que ceux qui me représentent soient respectables
et présentables. Spic and span.

Si je me discrédite en voyage ca doit être de ma faute pas à cause de
l'image que donne mes élus des citoyens de mon pays.

Si on fait une enquête parlementaire sur l'affaire du délégué général
à New-York vous ne pensez pas que dans ce cas on devrait en avoir une ?

C'est pas mal plus important.

Qui savait ? Pourquoi ca a pris 3 mois avant que cesse ? Comment se sont-ils connu ? La personne qui les a présenté c'est qui ?
Ca c'est des questions concernant l'aspect contrôle du politicien.

Quand l'a-t-il appris ?
Ca c'est la question déterminante pour savoir s'il est un cave pas
de jugement, irresponsable, pas présentable et irespectable.

La période des question à la chambre des communes hier,:

Citation :

QUESTIONS ORALES
[Questions orales]
* * *

[Traduction]

La sécurité nationale
[Table des matières]

M. Michael Ignatieff (Etobicoke—Lakeshore, Lib.):
Monsieur le Président, les questions touchant le jugement d'un ministre et la sécurité nationale n'ont rien de privé. Elles sont l'affaire de tout le monde et nous allons soulever ces questions à la Chambre.

[Français]


Alors, je poserai une question simple. Est-ce que le premier ministre a toujours confiance en son ministre des Affaires étrangères?

[Table des matières]

L'hon. Maxime Bernier (ministre des Affaires étrangères, PCC):
Monsieur le Président, jamais je n'aurais cru subir une attaque aussi mesquine et aussi basse de la part d'un parti d'opposition. Cela concerne ma vie privée. Cela concerne la vie privée et le passé de mon ex-copine, et la vie privée des gens n'est pas de vos affaires.

[Traduction]

[Table des matières]

M. Michael Ignatieff (Etobicoke—Lakeshore, Lib.):
Monsieur le Président, il ne s'agit pas seulement d'une affaire privée. La conduite du ministre des Affaires étrangères devient de plus en plus une source d'embarras.


C'est ce ministre qui s'est trompé en voulant nommer l'ancien président d'Haïti. Il a miné la souveraineté de l'Afghanistan en faisant des remarques inconsidérées au sujet du gouverneur de Kandahar. Et nous apprenons maintenant qu'il a négligé de divulguer des renseignements concernant une relation privée qui aurait pu poser des problèmes de sécurité.


Compte tenu de la propension manifeste du ministre à se mettre les pieds dans les plats, je pose de nouveau la question: comment le gouvernement peut-il faire confiance au ministre des Affaires étrangères?

[Table des matières]

L'hon. Peter Van Loan (leader du gouvernement à la Chambre des communes et ministre de la réforme démocratique, PCC):
Monsieur le Président, je suis certain que vous conviendrez comme moi que, si la Chambre des communes s'abaissait à passer ses journées à scruter la vie privée des députés, notre pays serait un endroit beaucoup plus triste.


Pour ce qui est des préoccupations exprimées par le député de l'opposition au sujet de la sécurité nationale, je pourrais les prendre un peu plus au sérieux si son parti n'avait pas passé la totalité de sa première ronde de questions hier à demander le rapatriement au Canada de deux personnes soupçonnées d'être des terroristes.


Il est évident que les libéraux ne se soucient pas réellement de la sécurité nationale. Ils ont tout simplement atteint le fond du baril.

(1420)

[Français]

[Table des matières]

M. Michael Ignatieff (Etobicoke—Lakeshore, Lib.):
Monsieur le Président, j'ai une question pour le ministre.


À titre de chef de la diplomatie canadienne ayant la plus haute cote de sécurité, peut-il expliquer comment il a pu croire qu'une relation avec une personne ayant eu des liens avec le crime organisé serait sans conséquence? Comment peut-il expliquer cela?

[Traduction]

[Table des matières]

L'hon. Peter Van Loan (leader du gouvernement à la Chambre des communes et ministre de la réforme démocratique, PCC):
Monsieur le Président, c'est le premier ministre Pierre Trudeau qui a dit un jour: « L'État n'a rien à faire dans la chambre à coucher des Canadiens. » Il est clair que le chef adjoint du Parti libéral ne ressemble en rien à Pierre Trudeau.

[Table des matières]

L'hon. Denis Coderre (Bourassa, Lib.):
Monsieur le Président, nous savons que la cote de sécurité du ministre des Affaires étrangères est parmi les plus élevées qui puissent être accordées à un membre du Cabinet.


Des voix: Oh, oh!

[Table des matières]

L'hon. Denis Coderre:
Monsieur le Président, pourriez vous demander au ministre de l'Environnement de se calmer, je vous prie? Il s'agit d'une question importante.


Pour obtenir cette cote de sécurité, le ministre a dû se soumettre à une vérification minutieuse de ses antécédents. A-t-il inscrit le nom de la femme qu'il appelait sa conjointe, Julie Couillard, sur le formulaire qu'il a rempli pour qu'on effectue la vérification de ses antécédents avant de lui accorder sa cote de sécurité et a-t-on soulevé des préoccupations au sujet de sa relation avec Mme Couillard à ce moment-là? La question est simple.

[Table des matières]

L'hon. Peter Van Loan (leader du gouvernement à la Chambre des communes et ministre de la réforme démocratique, PCC):
Monsieur le Président, il est absolument clair qu'il s'agit ici d'attaques personnelles contre la vie privée d'une personne. Ces attaques motivées par des considérations politiques n'ont pas leur place à la Chambre des communes.


Je remarque que ce n'est pas le porte-parole pour les affaires étrangères qui pose des questions au ministre des Affaires étrangères. Il y a probablement une raison à cela. Je crois qu'il est peut-être le seul député là-bas qui a un peu trop de classe pour faire cela.

[Français]

[Table des matières]

L'hon. Denis Coderre (Bourassa, Lib.):
Monsieur le Président, le gouvernement doit reconnaître qu'il s'agit aussi d'une question de sécurité nationale, donc d'intérêt public. Le ministre des Affaires étrangères avait l'obligation, vu le changement de son statut et de son niveau de sécurité, d'informer son premier ministre.


Par ailleurs, le Conseil privé était-il au courant? A-t-il émis des réserves, un rapport au sujet du ministre et de cette femme qu'il appelait son épouse et qui a eu des liens avec le crime organisé et le milieu des motards criminalisés?


Deuxièmement — et c'est une question importante —, est-ce que des services de gouvernements étrangers ont déjà soulevé le sujet aux autorités canadiennes?

[Traduction]

[Table des matières]

L'hon. Peter Van Loan (leader du gouvernement à la Chambre des communes et ministre de la réforme démocratique, PCC):
Monsieur le Président, il y a un chef de parti qui est normalement à la Chambre et qui, pas plus tard que l'an dernier, a dit ceci: « Je serais très heureux de voir moins d'attaques personnelles, moins de basse politique. » Ce sont là les paroles du chef du Parti libéral. Il n'est manifestement pas là pour diriger son parti aujourd'hui.

[Français]

[Table des matières]

M. Gilles Duceppe (Laurier—Sainte-Marie, BQ):
Monsieur le Président, le 14 août 2007, le ministre des Affaires étrangères s'est fait remarquer en entrant à Rideau Hall au bras d'une femme pour se faire assermenter. L'image frappe, tant et si bien qu'une journaliste du Hill Times tente de connaître son identité et apprend que le ministre veut garder son nom secret.


N'est-ce pas là la preuve qu'au moment de son assermentation, le ministre des Affaires étrangères était au courant du passé plutôt trouble de sa conjointe?

[Table des matières]

L'hon. Lawrence Cannon (ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités, PCC):
Monsieur le Président, tous les députés dans cette Chambre ont une vie publique et tous les députés ont aussi droit à leur vie privée. Tout le monde a droit à son intimité et à sa vie privée, qu'on soit ministre, journaliste ou dentiste.

[Table des matières]

M. Gilles Duceppe (Laurier—Sainte-Marie, BQ):
Monsieur le Président, non seulement le ministre des Affaires étrangères était au courant du passé de sa conjointe au moment de son assermentation, mais le Conseil privé, le ministère du premier ministre, aussi. En effet, la journaliste du Hill Times s'est également adressée aux Affaires étrangères, au ministère de l'Industrie et au Conseil privé pour connaître l'identité de l'accompagnatrice du ministre, et partout, le même mutisme.


N'est-ce pas une autre preuve qu'au moment de l'assermentation, le ministre des Affaires étrangères, comme le Bureau du premier ministre, était au courant du passé plutôt trouble de cette conjointe?

[Table des matières]

L'hon. Lawrence Cannon (ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités, PCC):
Monsieur le Président, le ministre des Affaires étrangères fait un travail remarquable et très difficile dans notre pays. Il mérite notre encouragement et notre appui. Il ne mérite surtout pas des soupçons et des insinuations.

(1425)

[Table des matières]

M. Michel Guimond (Montmorency—Charlevoix—Haute-Côte-Nord, BQ):
Monsieur le Président, il apparaît évident, à la lecture des journaux de ce matin, que l'ex-conjointe du ministre des Affaires étrangères a un passé plutôt trouble. Ses liens avec le crime organisé étaient si étroits que sa vie aurait été menacée à une certaine époque.


Sachant que le milieu interlope ne se gêne pas pour exercer des pressions sur les gens, le ministre des Affaires étrangères n'aurait-il pas dû, sachant le passé trouble de son ex-conjointe, révéler cette situation lors de l'enquête de sécurité dont il a été l'objet à titre de ministre des Affaires étrangères?

[Table des matières]

L'hon. Lawrence Cannon (ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités, PCC):
Monsieur le Président, le chef du Bloc québécois peut-il rassurer cette Chambre en disant que lui, personnellement, n'a jamais participé à une conférence téléphonique avec des journalistes et qu'il n'a pas proféré de menaces aux mêmes journalistes si ceux-ci n'allaient pas dans le sens de l'histoire dont il parle aujourd'hui?

[Table des matières]

M. Gilles Duceppe (Laurier—Sainte-Marie, BQ):
Tout à fait, monsieur le Président, aucune menace à aucun journaliste! Je ne suis pas un conservateur, moi. Je demande...


Des voix: Oh, oh!

[Table des matières]

Le Président:
À l'ordre s'il vous plaît. L'honorable député de Laurier—Sainte-Marie a la parole.

[Table des matières]

M. Gilles Duceppe:
Monsieur le Président, je demande à ce ministre, s'il a moindrement le sens de l'honneur et de la responsabilité, de nous affirmer de son siège que le 14 août, il n'était pas au courant du passé plutôt trouble de sa conjointe. Qu'il se lève et qu'il réponde!

[Table des matières]

L'hon. Lawrence Cannon (ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités, PCC):
Monsieur le Président, si le chef du Bloc québécois était conservateur, une chose est sûre et certaine, c'est qu'il serait capable de respecter ses engagements, comme nous le faisons, auprès des Québécois.


J'ai pris bonne note du fait que le chef du Bloc québécois n'a pas proféré de menaces auprès des journalistes.

Citation :

L'hon. Lawrence Cannon (ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités, PCC):
Monsieur le Président, le chef du Bloc québécois peut-il rassurer cette Chambre en disant que lui, personnellement, n'a jamais participé à une conférence téléphonique avec des journalistes et qu'il n'a pas proféré de menaces aux mêmes journalistes si ceux-ci n'allaient pas dans le sens de l'histoire dont il parle aujourd'hui?

A-t-on déjà vu un tel interventionisme de l'administratif
sur le contenu en information ?

Citation :

Le vendredi 09 mai 2008
TVA tait la nouvelle sur Maxime Bernier toute une soirée
Richard Therrien
Le Soleil

Pour une deuxième fois en l'espace de deux semaines, la direction de TVA est intervenue pour retenir ou modifier une information, mercredi soir. Le personnel a en effet reçu l'ordre de ne pas aborder la nouvelle concernant les fréquentations douteuses du ministre conservateur Maxime Bernier le soir même au TVA 22 heures, ainsi qu'à LCN.

Sur les conseils de son contentieux, TVA reste d'ailleurs le seul et unique réseau de télévision à brouiller le visage et à taire le nom de Julie Couillard, qui a été mariée à un ex-membre des Hells Angels Nomads. TQS l'a toujours nommée et montrée, alors que Radio-Canada et RDI le font depuis hier à 17h.

Deux chefs de pupitre de TVA et LCN ont donc reçu la directive du directeur général des nouvelles, Martin Cloutier, de ne pas traiter de la nouvelle, dont il avait pourtant été question à la Chambre des Communes durant la journée. Le chef de l'Opposition, Stéphane Dion, et le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, l'ont même commentée à micro ouvert.

D'ailleurs, Radio-Canada a traité de la nouvelle mercredi dès 18h30 au Téléjournal Montréal et au Téléjournal Québec. TQS, qui n'a pas de reporter à Ottawa, n'a pas eu le temps d'aborder la question avant le lendemain matin.

Voyant que la nouvelle était sortie dans tous les journaux hier matin, TVA et LCN y ont dès lors accordé beaucoup de temps d'antenne durant toute la journée, sans nommer ni ne montrer le visage de Julie Couillard. Martin Cloutier a orienté le traitement de la nouvelle dès le petit matin.

Le vice-président à l'information de TVA, Serge Fortin, s'est montré très irrité par nos questions hier, et n'a pas voulu justifier cette décision. «Je ne suis pas responsable des décisions éditoriales des autres médias, c'est tout. Nous avons pris la décision de ne pas la diffuser parce qu'il s'agissait d'un procès d'intention. Cette femme n'a pas de dossier criminel.»

Il jure n'avoir reçu aucune directive avant de prendre cette décision. «Je prends très au sérieux la réputation et la crédibilité du service des nouvelles que je dirige.» Le plus étonnant, c'est qu'une équipe de TVA enquêtait depuis deux mois sur les antécédents de cette femme fréquentée par Maxime Bernier.

C'est la deuxième fois en peu de temps que la direction de l'information de TVA intervient auprès de son personnel pour retenir une nouvelle ou en modifier le traitement. En avril dernier, des reporters ont reçu la directive de retirer de leurs reportages certaines affirmations qui dérangeaient la direction, concernant le lock-out qui sévit depuis un an au Journal de Québec, un quotidien de Quebecor.

Cette nouvelle intervention des patrons de TVA cette semaine a créé des remous à l'interne. «On n'aime jamais voir une nouvelle chez le concurrent sans pouvoir la sortir même si on l'a», nous a confié une source.

En octobre 2005, TVA décidait de taire le nom d'Anne-Marie Péladeau, la soeur de Pierre Karl, arrêtée au terme d'une poursuite en voiture, alors que son rival TQS en parlait ouvertement depuis 16 heures. Ironiquement, l'hélicoptère de TVA avait filmé des images de l'arrestation brutale. Pour expliquer ce mutisme prolongé, TVA invoquait qu'aucune accusation n'avait encore été portée contre Anne-Marie Péladeau. Or, TVA n'avait pas attendu que des accusations soient portées avant de dévoiler les noms de Mom Boucher, de Robert Gillet et de Guy Cloutier lors de leur arrestation.

Hier matin, le visage de Julie Couillard était voilé sur la une des quotidiens de Quebecor, Le Journal de Montréal et Le Journal de Québec, mais pas dans Le Devoir et dans La Presse.

D'accord pour dire que l'affaire Bernier est d'intérêt public et non pas une soi-disant question de «vie privée» ou de «potinage».

N'importe quel politicien, surtout s'il est au pouvoir, est sujet à du chantage si sa «vie privée» s'écarte de certaines normes morales traditionnelles d'une façon non-déclarée.

Un politicien qui...
- trompe sa femme
- est un homosexuel clandestin
- fréquente des endroits ou il se pratique du sexe en groupe
- est alcoolique ou consomme de l'alcool abusivement
- s'adonne ou s'est adonné à une pratique criminelle de quelque nature que ce soit
- fait (ou a fait) un ou des gestes dont il est raisonnable de penser qu'une portion significative des électeurs jugeraient ces gestes comme étant immoraux
... est nécessairement un politicien sujet à du chantage, et de ce fait susceptible à devenir corrompu, et ce pour toute la période entre son entrée en politique et le moment ou les informations pertinentes deviennent publiques.

Les médias seraient justifiés à mon humble avis de faire des recherches à ce sujet et de publier toute information de ce genre trouvée. Malheureusement les médias dits «sérieux» manquent souvent d'intérêt à cet effet.

En ce qui concerne André Boisclair, c'est un autre genre de problème, je ne vois pas en quoi son homosexualité et son passé de drogué auraient pu donner lieu à du chantage s'il avait été élu... à moins bien sûr qu'il avait un autre squelette dans son placard. On peut cependant remettre en doute le jugement de Boisclair sur la base des faits connus à son sujet et juger que le Québec a bien fait de le rejeter aux dernières élections pour cette raison.

-- Le couillon anonyme

Jean Langlois a écrit:

A-t-on déjà vu un tel interventionisme de l'administratif
sur le contenu en information ?

Citation :

Le vendredi 09 mai 2008
TVA tait la nouvelle sur Maxime Bernier toute une soirée
Richard Therrien
Le Soleil
(...)

Pas à ma connaissance. Mais avec la paranoïa au sujet des poursuites judiciaires (qui est trop souvent fondée au moins en partie), il faut malheureusement s'attendre à ce que cette tendance continue.

-- Le couillon anonyme

au usa un cover up de corruption est un scandale mais ici le ministre doit se taire?

Ex-State officials allege corruption in Iraq

By ANNE FLAHERTY, Associated Press Writer 13 minutes ago

WASHINGTON - The Bush administration repeatedly ignored corruption at the highest levels within the Iraqi government and kept secret potentially embarrassing information so as not to

Couillon anonyme a écrit:

......En ce qui concerne André Boisclair, c'est un autre genre de problème, je ne vois pas en quoi son homosexualité et son passé de drogué auraient pu donner lieu à du chantage s'il avait été élu...
-- Le couillon anonyme

A la une du 7jours,:
Il encule le PM en faisant une ligne de coke sur son dos.

Vous voyez ?

Citation :

Le vendredi 16 mai 2008
Affaire Julie Couillard: des liens douteux jusqu'en 2005
André Noël et André Cédilot
La Presse

Julie Couillard, ce mannequin qui a accompagné le ministre Maxime Bernier à sa prestation de serment l'été dernier et dans des activités mondaines pendant l'hiver, a continué d'entretenir des relations dans le milieu criminel bien après son divorce avec un motard en 1999, révèle une enquête de La Presse.....
http://www.cyberpresse.ca/article/20080516/CPACTUALITES/805160884/6737/CPACTUALITES

One more ?

Je ne veux plus être représenté à l'étranger par cet homme.

Citation :

Le vendredi 23 mai 2008
Bernier fait une promesse que le Canada ne peut pas tenir
La Presse Canadienne
Ottawa
......Alors que des rumeurs de remaniement ministériel imminent circulent à Ottawa, la tête du ministre Bernier semble plus que jamais être sur le billot.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080523/CPACTUALITES/80523020/-1/CPACTUALITES

Ah, ok.

Et qu'elle roule loin, loin, loi à la chambre des communes.

Citation :

Le dimanche 25 mai 2008
La promesse de Bernier coûte un million
Hugo Fontaine
La Presse

Il coûtera environ un million de dollars au ministère de la Défense pour louer un avion russe Antonov afin d'assurer le transport de quatre hélicoptères de l'ONU dans la région de la Birmanie.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080525/CPACTUALITES/805250386/-1/CPACTUALITES

Citation :

Bernier démissionne
Radio-Canada

Les erreurs de Maxime Bernier lui auront finalement coûté son poste de ministre des Affaires étrangères.

C'est ce qu'a confirmé le premier ministre Stephen Harper, lundi soir en conférence de presse. M. Harper a affirmé que M. Bernier l'avait informé qu'il avait laissé des documents confidentiels dans un endroit non sécurisé.

Le premier ministre a annoncé que David Emerson assumera les responsabilités de ministre des Affaires étrangères sur une base intérimaire. La ministre du Patrimoine canadien, Josée Verner, s'occupera quant à elle de la Francophonie.

Stephen Harper a affirmé que Maxime Bernier avait avoué sa faute lundi après-midi. « C'est une erreur très grave », a déclaré M. Harper. Le premier ministre a ajouté qu'il s'attendait qu'un ministre prenne les précautions nécessaires en manipulant des documents gouvernementaux secrets. « C'est un devoir essentiel », a-t-il dit.

Pourtant, M. Harper continuait de défendre son ministre, lundi, à la suite de nouvelles révélations concernant l'ex-copine de Maxime Bernier, Julie Couillard. Il a persisté à dire qu'il s'agissait d'une affaire privée.

Il n'est pas clair si cette affaire touchant la sécurité nationale s'est produite au moment où Maxime Bernier fréquentait toujours Julie Couillard. Celle-ci était déjà au coeur d'une controverse, parce qu'elle avait fréquenté des hommes liés aux motards criminalisés dans le passé.

Elle a aussi créé un malaise à Ottawa après qu'il fut rendu public que Mme Couillard avait pris part à des séances d'information du ministre démissionnaire des Affaires étrangères.

Un ministre maladroit
Depuis son arrivée au ministère des Affaires étrangères, en août 2007, Maxime Bernier n'a cessé de multiplier les gestes interprétés comme des maladresses, dont certains ont même causé des incidents diplomatiques.

En octobre dernier, le ministre a causé un malaise en distribuant des petits gâteaux à des militaires, lors d'une visite à Kandahar.

En avril dernier, lors d'une visite en Afghanistan, M. Bernier a remis en question la compétence du gouverneur de Kandahar, un commentaire interprété comme une ingérence dans la politique afghane. Lisez notre nouvelle à ce sujet.

Puis, l'affaire Julie Couillard, cette ex-copine de M. Bernier ayant eu des liens avec d'ex-motards, a soulevé de nombreuses questions à Ottawa en mai. Consultez une de nos nouvelles à ce sujet.

Maxime Bernier a aussi été vu sur une photo, serrant la main d'un homme d'affaires soupçonné par la GRC d'avoir des liens avec des réseaux criminels, Michael Chamas. Lisez notre article à ce sujet.

Toujours en mai, M. Bernier a déclaré que les nouveaux avions cargos canadiens C-17 pourraient transporter des hélicoptères de l'ONU au Myanmar, dans le cadre de l'effort d'aide aux sinistrés du cyclone Nargis. Toutefois, aucun C-17 n'était disponible à ce moment, et le gouvernement canadien a dû noliser à prix fort un gros porteur russe pour remplir cette promesse. Consultez notre nouvelle à ce sujet.

Révélations du Devoir

Selon ce qu'a appris le quotidien montréalais Le Devoir, Julie Couillard exploite depuis 2005 une entreprise spécialisée dans les « systèmes de haute technologie de sécurité » qui oeuvre, selon une ancienne employée, dans l'installation de systèmes de sécurité et le « contrôle de passagers ».

Cet intérêt pour le domaine de la sécurité chez une femme qui, officiellement, travaille comme agente immobilière serait issu, toujours selon Le Devoir, d'une précédente relation amoureuse, en 2004 et 2005, avec le dirigeant d'une entreprise d'intégration de système de sécurité.

Julie Couillard et ce dernier, Robert Pépin, ont d'ailleurs présenté en 2004, au nom de l'entreprise de M. Pépin, l'Agence d'investigations et de sécurité DRP, une soumission à l'Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA).

Cette soumission concernait un appel d'offres fédéral pour l'implantation d'une carte d'accès aux zones réglementées destinées aux employés des aéroports canadiens. Si la proposition de DRP n'a pas été retenue par l'ACSTA, il n'en demeure pas moins, comme l'indique Le Devoir, que Julie Couillard a néanmoins « vu beaucoup de choses à propos de la sécurité des aéroports ».

Julie Couillard a rompu avec Robert Pépin peu de temps après, en 2005, alors qu'elle fondait sa propre entreprise de sécurité, Itek Solutions Globales. Selon La Presse, Robert Pépin devait d'importantes sommes d'argent à un prêteur des Hells Angels et aurait fait l'objet de menaces avant de se suicider, en mai 2007, peu après avoir reçu une assignation à comparaître devant l'Autorité des marchés financiers (AMF), l'organisme qui surveille les investissements.

Le Devoir a tenté en vain de contacter la direction d'Itek Solutions Globales, une entreprise dont l'adresse officielle est la même que celle de la résidence lavalloise de Julie Couillard.

Mme Couillard est au coeur d'une controverse après que des médias se furent rendu compte que l'ex-copine du ministre démissionnaire des Affaires étrangères, Maxime Bernier, avait dans le passé fréquenté des membres de gangs de motards criminalisés.

Maxime Bernier et Julie Couillard ont entretenu une relation au moins jusqu'au 31 mars dernier, le couple ayant été vu à la table d'un restaurant d'Ottawa avec le ministre de la Sécurité publique Stockwell Day et sa conjointe.




Radio-Canada.ca avec Le Devoir et La Presse

Citation :

C'est l'avocat de Mme Couillard qui a prévenu le ministère des Affaires étrangères

Ben là .... vraiment ..... On a un film.

Citation :

Maxime Bernier démissionne de son poste de ministre des Affaires étrangères
Il y a 47 minutes
Presse-Canadienne

OTTAWA — ........

Une source a indiqué à la Presse Canadienne que M. Bernier avait laissé des documents très secrets dans l'appartement de son ancienne amie de coeur, Julie Couillard, une femme qui a déjà été liée à des membres des Hells Angels. C'est l'avocat de Mme Couillard qui a prévenu le ministère des Affaires étrangères au cours du week-end.
http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5jDjeQzyuxUpUYtICbuy2OvdPKakw

Citation :

Le premier ministre Harper a déjà convoqué M. Bernier, en octobre 2007

Ok. Le PM était au courrant. Il lui a donné une chance.

L'amour est aveugle ou une queue bandée n'a pas de jugement ?

J'aimerais connaître les ex da max.

Citation :

Le lundi 26 mai 2008
Julie Couillard et les Hells: Bernier savait depuis le début
Denis Lessard
La Presse
Québec

Julie Couillard, l’ancienne amie de coeur du ministre Maxime Bernier, lui avait, dès le début de leur relation, tout raconté de ses anciens rapports avec des personnes liées aux motards criminalisés. Le ministre Bernier, alors à Industrie Canada, n‘y voyait pas de problème à l’époque.

Tout a changé subitement quand le cabinet du premier ministre Stephen Harper s’est mis à poser des questions. Le ministre a laissé tomber son amie de coeur rapidement, raconte cette dernière dans une entrevue diffusée à TVA.

Le premier ministre Harper a déjà convoqué M. Bernier, en octobre 2007, pour lui rappeler que Mme Couillard, qui n’était pas membre de son personnel politique, n’avait pas à assister à des réunions de stratégie. Elle intervenait fréquemment dans les stratégies de communications du ministre des Affaires étrangères.

Selon les informations obtenues par Cyberpresse, le fameux décolleté porté le jour de l’assermentation des ministres du cabinet Harper, l’été dernier, ne faisait pas l’unanimité, loin de là. Michèle Austin, qui était chef de cabinet de Maxime Bernier à l’Industrie, avait fait des pieds et des mains pour que Mme Couillard n’arrive pas dans cette tenue provocante. M. Bernier avait décidé de passer outre ses conseils.

Ok.

Je pense qu'on peut commencer à parler d'un build up.

Citation :

Le lundi 26 mai 2008
Julie Couillard: «J'ai eu un document chez moi»
Julie Couillard a accordé une entrevue à Paul Larocque à TVA.
Cyberpresse

Julie Couillard en veut à Maxime Bernier. «On ne m'a jamais autant manqué de respect», a-t-elle dit lors d'une entrevue diffusée à 21h à TVA. Au cours des trois dernières semaines, Julie Couillard dit que sa vie a été détruite.

«J'ai eu un document chez moi», a-t-elle révélé. Maxime Bernier aurait laissé ledit document à sa résidence.

Julie Couillard a remis récemment le document classifié au gouvernement, qui aurait été oublié à la mi-avril.

Un avocat l'aurait informée du fait que ce document était la propriété du gouvernement canadien, document dont elle n'a pas voulu préciser la nature.

Le système d'alarme aurait aussi connu des problèmes techniques au cours des dernières semaines, que Julie Couillard s'explique mal.

«J'étais écoutée, me disait mon instinct de femme», a-t-elle dit.

À la suite de l'inspection d'experts, on aurait découvert qu'un microphone avait été installé dans le sommier de son lit.

«Je n'ai rien fait de mal»

Julie Couillard se défend dans une entrevue diffusée à TVA d'avoir rien fait de mal.

L'ex-amie de coeur met la faute sur d'autres pour le choix de la robe qu'elle a portée lors de l'assermentation du ministre.

Elle a dit s'en vouloir de ne pas avoir écouté son instinct de femme pour le choix de cette robe.

Julie Couillard dit s'être sentie plus en sécurité alors qu'elle fréquentait d'ex-motards qu'au cours des trois dernières semaines.

Elle aurait également informé Maxime Bernier de son passé où elle a connu des motards criminalisés dès le début de sa relation.

Julie Couillard a rencontré Maxime Bernier lors d'un souper avec des amis.

La femme se défend de s'être jamais immiscée dans les affaires politiques de son ex-ami de coeur.

Citation :

Presse Canadienne
Ottawa


Il n'a pas fait exception lundi, lors d'une conférence de presse en compagnie du président ukrainien, Viktor Iouchtchenko. Interrogé à savoir si le gouvernement avait mené des enquêtes de sécurité sur l'ex-amie de coeur de M. Bernier, M. Harper a déclaré qu'il s'agissait d'une question de vie privée.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080526/CPACTUALITES/80526149/-1/CPACTUALITES

Encore aujourd'hui le PM couvrait Maxim.

Que s'est-il passé ?

MB a t-il oublié un seul document chez la madame? Au fait, l'a t-il vraiment oublié? En a t-elle gardé des copies? L'histoire éclate en pleine face du gouvernement. De quoi faire réfléchir tous ceux qui disent que les histoires de couchette des politiciens c'est une affaire privé.

hypothèse farfelue?

Les conservateurs sont tombés à bras raccourcis sur la perquisition d'Elections Canada et la GRC sur le 1,2 million détournés lors de la dernière élection.

Vengeance de la machine contre le gouvernement?

Ça mériterait une petite recherche...