La Mata Hari du 450

Peut-être mais est-ce que ce qu'il a fait (outre le document qu'elle a garde par vengeance et pour faire de la marde) méritait d'avoir sa carrière détruite et sa crédibilité anéanti a jamais?

Malgre toutes ses maladresse, Bernier n'est pas un cave ou un imbecile, un peu naif oui mais pas cave.

Avouons-le il y a déjà eu bien pire parmi les politiciens Canadien...malheureusement le jugement n'est pas mentionne sur les bulletins de vote, tout comme le QI etc....

Canada1 a écrit:

Malgre toutes ses maladresse, Bernier n'est pas un cave ou un imbecile, un peu naif oui mais pas cave.

Les jos-Louis, la demande de remplacement d'un gouverneur afghan,
le président Aristide encore en Haiti, etc ....
Bernier est un cave et un imbécile. Désolé.

L'histoire avec une plote à cash criminalisé n'en n'est qu'une autre démonstration.

Désolé pour la vulgarité mais c'est tout le respect qu'elle mérite.

Les Joe-Louis c'était rien, Aristide c'est épais, l'Afghan c'était prévue, les papiers oublie impardonnable, mais la dame aurait normalement du lui téléphoner pour lui dire et non faire de la marde et le détruire parce qu'il ne l'aime plus...

De toute façon a la lumières des recherches que je me suis amuse a lister vis-a-vis tout les éléments nouveau que nous savons maintenant de plus sur Couillard grâce au vaillant travail des journalistes de Toronto et de certains autres et que TVA aurait du conaitre avant de laisser parler la dame et de salir, detruire et momifier un Ministre:

- 1969 ou 1970, elle est ne a Ville Emard, son père se prénomme Marcel et il est un genre de petit bandit bas de gamme
- Aucune scolarite apparente autre que du Street Smart mais du bon selon Sirois
- En 1991, a 21 ans elle est la blonde de Tony Volpato (40ans), un Mafiosi connecte a Frank Cotroni
- En 1995, elle fait sa première apparition publique fut dans le Photo Police; "Arrête dans son lit, l'épouse du motard Gilles Giguere...."
- Membre ou plutôt active a l'Union des artistes entre 1993 - 1999
- Entre 1993-1999, elle a participe a Surprise Sur prise comme figurante
- En 1996, elle a fait une plainte au comité d'éthique de la Police du Québec suite a son arrestation par l'escouade carcajou
- En 1998, sa maison a servi de serre hydrophonique a Stephane Sirois pour la culture de marijuana et elle blame son pere lors de son arrestation
- En 1999, sa maison fut saisie par la Banque Laurentienne pour non paiement d'hypothèque - $103,000
- Toujours en 1999, elle fut poursuivie par son avocat de divorce aux petites créance pour $839
- En 2002, elle a encaissé un dernier chèque de $ 253 pour la rediffusion de son apparition a Surprise Sur prise comme figurante sur les onde de TVA
- En 2002, L'UDA ferme son dossier en raison d'une trop longue période d'inactivité.
- En 2004, elle a fait une faillite personnel
- En 2004, elle a fonde une agence de mannequin; Casting Cinq Étoiles, ou Five Star Casting Canada aka Five Star Casting International ou Casting toute étoile international situe au 3131 Boul St Martin O a Laval
- En 2005, elle fonde la compagnie de sécurité Itek Solutions globales
- En 2006, l'agence Casting Cinq Étoiles (et les autres) fut déclaré inactive et radie d'office par le Ministère du Revenue du Québec
- En 2006 elle a deujeuner au restaurant Le Four à Bois ZiOZ de Rosemere avec Normand Descôteaux criminel notoire très lié à Maurice «Mom» Boucher
- Elle fréquente le salon Louis Robert tout comme Gilles Duceppe pour son confort capilaire
- Elle raconte des tas d'histoire a son coiffeur
- En 2007, elle fut poursuivie par autre ex-avocat et condamné le 8 Août, cette fois pour la somme de $1,210
- Des photos d'un cocktail du PC sont retrouver sur le site du Macleans avec Mme Couillard http://forums.macleans.ca/uploads/1366/1204946810.4705.upload1.jpg
- Elle habite au 8889 Rue De Tilly, in Laval, Que
- Sa maison a une piscine creusé et un bel aménagement paysager qui détonne avec la rue et le quartier qui est dans plutôt moyen et délabré
- En 2007, elle obtient une licence d'agent d'immeuble en Avril
- Le 15 Mai 2008, elle demande $50, 000 au Toronto Star pour une entrevue exclusive
- Le 28 Mai 2008, elle ne travail pas pour Kevlar et la compagnie a même envoyé un communiqué de presse a cet effet
- Elle a une Audi
- Elle a jamais dit a Sirois: "c'est les Hells ou c'est moi" c'est Boucher qui a sacre Stephane Sirois dehors des Hells a cause d'elle
- En 2008, un avis de défaut fur publie pour non divulgation de rapport de sa compagnie Itek Solutions globales (la prochaine étape est la radiation)
- Elle a une page facebook, mais seul les journaux anglais ont reussi a la trouver
- Le 16 mai 2008, elle a déjeuner avec Luc Lavoie de Quebecor et une autre femme était présente à leur table et ce 2 jours avant l'entrevue a TVA

Imagine le rêve de tout journaliste, de faire de l'ouvrage journalistique de terrain, de démêler tout les détails et de se retrouver face a un vrai roman savon. Plus nous en savons sur elle, moins elle est crédible; elle a menti a propos de son travail, elle a menti a propos de ses motivations pour l'interview, elle a menti sur le pourquoi les documents sont reste chez-elle, elle a mentis a propos des micros dans son matelas, menti a propos de Stéphane Sirois et sa continue car plus les journalistes creuse plus ils trouve des révélations et des informations sur la dame.

Maintenant la questions qui me vient en tête, est comment pourra t'elle se présente devant une commission et reste crédible, comment les partis d'opposition peuvent-ils base leur inquisitions uniquement sur son témoignage.

Whats next!!!

Canada1 a écrit:

Les Joe-Louis c'était rien, Aristide c'est épais, l'Afghan c'était prévue, les papiers oublie impardonnable

Les Joe-Louis c'était méprisant. Aristide c'était une démonstration d'ignorance. Les papiers oubliés c'était une démonstration de négligeance.

L'Afghan c'était prévu ? Source ?

Jean Langlois a écrit:

Les Joe-Louis c'était méprisant.

Common, ya tu un seul soldat qui a trouve ça méprisant? C'était plutôt gentil de leurs ammener des gâteaux typiquement de la Beauce non? N'importe qui qui a vécu a l'étranger pendant un bon bout de temps aime ça retrouver des choses de chez-nous. Le seul mépris la dedans viens des médias.

Jean Langlois a écrit:

L'Afghan c'était prévu ? Source ?

Kandahar governor set to leave until Bernier spoke, says Afghan official
Tuesday, April 22, 2008
CBC News

The controversial governor of Kandahar was on his way out until a political gaffe by Canada's foreign affairs minister hindered those plans, an Afghan politician says.

Afghan parliamentarian Khalid Pashtun said Foreign Affairs Minister Maxime Bernier's comments left the Afghan president with no choice but to leave Gov. Asadullah Khalid in his post.

Last week Bernier publicly said Afghan President Hamid Karzai should remove Khalid from office based on allegations of corruption. Khalid was among Afghan officials alleged to have participated in torture of detainees. Khalid has denied the reports.

http://www.cbc.ca/world/story/2008/04/22/afghan-cda.html

le deal était en train de se conclure avant que Maxime LaGaffe fasse son oeuvre. Après le gouverneur a fait un doigt d'honneur...

Gentil les Joe-Louis ? Ca ressemblait plus à un placement de pub.

Quand tout les jours ta vie est en danger pcq des politiciens ne te donnent
pas les moyens de te protéger je ne pense pas que tu sois ému par un
Joe Louis. Faudrait leur demander.

Quand au Gouverneur son départ avait été diplomatiquement négocié et quand Bernier a fait sa déclaration pour prendre le crédit du départ il a tout fait foiré. Canada1, votre jupon dépasserait-il ?

Inquiete-toi pas mon jupon est bien a sa place, sauf que bien que je suis très intrigué par ce dossier et je trouve que les journaliste du Québec font pas la job, j'ai pris un peu de distance dans cette affaire et essayé de ne pas laisser les émotions contrôler comment que je pense. Je constate que Bernier bien qu'il ait fait des gaffes a repetitons ne méritait pas le sort qui lui est arrivé, sauf bien sur pour 1 évènements tres grave et il en paye très cher le prix. Bordel hier le journaliste latreille de la SRC le courrait dans la rue comme un vulgaire paparazzi!

Le reste est pas pire que les incongruité d'un Jean Chrétien et bien d'autre peu importe leur parti.

Le mardi 10 juin 2008
Les conservateurs convoquent le coiffeur de Julie Couillard
Joël-Denis Bellavance
La Presse
Ottawa

Le Parti conservateur entend convoquer le coiffeur de Montréal que fréquentaient à la fois Julie Couillard et le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe devant le comité de la sécurité publique de la Chambre des communes la semaine prochaine, a appris Cyberpresse.

C’est ce même coiffeur qui aurait dévoilé au chef bloquiste le passé trouble de Mme Couillard qui a eu comme conjoints successifs deux membres des Hells Angels, révélait le quotidien torontois The Globe and Mail la semaine dernière.

Le Bloc québécois a par la suite alerté des journalistes au sujet des fréquentations passées de Mme Couillard. Une porte-parole de M. Duceppe, Karine Sauvé, a refusé de préciser le nom du coiffeur du chef bloquiste ce matin. M. Duceppe se fait coiffer au Salon de coiffure Louis Robert, rue de la Montagne à Montréal.

Suite

Ça va jaser fort au Salon, va ton apprendre du coiffeur de Julie du Salon Louis Robert les secrets de son autre client;Gilles Duceppe, comme qu'il ait été un membre du Parti Communiste? Son vrai nom de famille? Que son grand pere etait un Anglo ne en GB? Son emploi avant la politique? oops c'est pas des secret ça...

La par contre Jean mon jupon federaliste dépasse...:-)

Citation :

La GRC confirme qu'elle connaissait Julie Couillard avant l'affaire Bernier
Il y a 1 heure

OTTAWA — Avant de se retrouver en manchette de plusieurs journaux à la suite de sa relation avec l'ancien ministre Maxime Bernier, Julie Couillard était connue de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), a confirmé pour la première fois un représentant du service de police fédéral.
http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5gZrokSxMH0g1no6JTs3Mu_FvzLOg

C'est eux qui le disent ......

Ont-il gardé l'info à l'interne ?

J'ai mon voyage....

Le mardi 10 juin 2008
Affaire Couillard: Une autre démission chez les conservateurs

Joël-Denis Bellavance et André Noël
La Presse
Une enquête menée par La Presse sur un trafic d’influence impliquant Julie Couillard a conduit, hier, à une deuxième démission en trois semaines dans le gouvernement Harper.

Cette fois, c’est le conseiller politique de Michael Fortier, Bernard Côté, un autre ancien amant de Mme Couillard, qui est tombé. La Presse avait auparavant découvert que Julie Couillard a utilisé ses relations amoureuses avec M. Côté et avec l’ex-ministre Maxime Bernier pour tenter d’influencer le gouvernement en faveur d’un promoteur immobilier, le Groupe Kevlar inc., auquel elle est affiliée. (..)

Suite ici mais cette section est plutot importante:

Décembre 2006: Michael Fortier annonce que son ministère, Travaux Publics Canada, est à la recherche d’un «édifice-phare» situé «à l’intérieur du centre-ville de Québec» pour reloger les quelque 700 fonctionnaires fédéraux qui travaillent dans l’ancienne capitale.

7 avril 2007: après avoir suivi un cours de quelque 240 heures, Julie Couillard obtient son premier certificat d’agent immobilier et s’affilie auprès d’Investissements immobiliers Kevlar inc., qui fait partie du Groupe Kevlar. Hier encore, elle était un des trois agents immobiliers affiliés à Kevlar, avec le président du groupe et une autre personne.

17 avril 2007 : Mme Couillard assiste à un cocktail de financement de l’association conservatrice de la circonscription de Châteauguay-Saint-Constant, à Mercier, au sud de Montréal. Le président de l’association, André Turcot, a dit au Devoir que Mme Couillard lui avait donné auparavant sa carte de chez Kevlar. Mme Couillard a signé un chèque de 1000 $ pour le Parti conservateur, a révélé La Presse dimanche. Michael Fortier était présent au cocktail, mais pas Maxime Bernier, alors ministre de l’Industrie.

Fin avril 2007 : Mme Couillard entreprend une relation amoureuse avec Maxime Bernier. Le groupe Kevlar propose au gouvernement fédéral de construire son édifice de Québec sur les terrains d’un grand stationnement, dans le quartier Saint-Roch. Il s’agit du Stationnement Dorchester, que Kevlar loue à une entreprise de Laval qui lui est liée.

Mme Couillard fait pression sur M. Bernier pour qu’il influence le gouvernement en faveur de la proposition de Kevlar. Elle lui fait valoir qu’elle pourrait empocher une somme d’argent intéressante si la proposition de Kevlar était retenue. À ces pressions, M. Bernier oppose une fin de non-recevoir catégorique, selon d’anciens proches collaborateurs qui se sont confiés à La Presse sous le couvert de l’anonymat. «Maxime Bernier a toujours eu une seule préoccupation en tête lorsqu’il était ministre. Il voulait protéger l’intérêt des contribuables», a affirmé un ancien membre de son entourage.

Août 2007: répondant aux demandes de la Ville de Québec, Michael Fortier élargit le périmètre où pourrait être construit son nouvel édifice fédéral, qui aura quelque 200 000 pieds carrés. Il n’est plus question de limiter l’appel d’offres au centre-ville. Le périmètre englobe désormais un quartier, le secteur d’Estimauville, que la Ville de Québec veut revitaliser. C’est par ailleurs en août 2007 que Mme Couillard accompagne Maxime Bernier à la résidence de la gouverneure générale pour sa prestation de serment comme ministre des Affaires étrangères.

10 septembre 2007: Julie Couillard et Bernard Côté, le conseiller politique de Michael Fortier, sont aperçus ensemble durant un tournoi de golf organisé par le Parti conservateur au club de golf Atlantide, à Notre-Dame-de-l’Île-Perrot, à l’ouest de Montréal. Quelque 300 militants conservateurs participent à l’événement. Le ministre Fortier est le président d’honneur. Trois sources conservatrices présentes au tournoi ont confirmé à La Presse avoir vu M. Côté en compagnie de Mme Couillard. On ignore quand Julie Couillard et Bernard Côté se sont fréquentés de façon intime. Une chose est sûre, à cette époque, les relations entre Julie Couillard et Maxime Bernier ont commencé à se détériorer.

Décembre 2007 : le conseil municipal de la Ville de Québec adopte une résolution pour offrir un terrain qui lui appartient dans le secteur d’Estimauville aux promoteurs qui seraient intéressés à y construire l’édifice fédéral. Le prix demandé: 350 000 $. Les promoteurs ont jusqu’au 15 du mois pour manifester leur intérêt. Kevlar fera partie des promoteurs intéressés, pour son stationnement dans le quartier Saint-Roch, évalué à 1,5 million de dollars.

Janvier 2008: Julie Couillard renouvelle son certificat d’agent immobilier, toujours auprès de Kevlar. Avril 2008: Maxime Bernier oublie des documents secrets chez Mme Couillard, à Laval. Mai 2008 : il démissionne. Hier, c’était au tour de Bernard Côté. La date limite pour répondre à l’appel d’offres pour l’édifice fédéral est le 20 juin prochain, dans neuf jours.

Faudrait commencer sérieusement a enquêter sur Kevlar, ça sent pas bon et si ce qui est la est vrai ce n'est pas les HA qui avait une taupe mais bien eux.

Cette fois c'est de la bel ouvrage journalistique de Bellavance et Noël, ils ont tellement vise juste que Cote a démissionné tellement la pression était forte.

Coudonc, ça deviendrait plus simple de nommer ceux que J. Couillard n'a pas baisé! Vraiment dangereuse cette fille. Liaison fatale, vous vous souvenez?

Je jure sur la tête de mon chien que je n'ai pas eut de relations sexuelles
avec Julie.

Couillard affair trips top Tory aide
TheStar.com - Canada -
June 11, 2008
Tonda MacCharles in Ottawa Sean Gordon in Montreal
The tangled web involving former foreign affairs minister Maxime Bernier's ex-girlfriend has ensnared another federal cabinet member.

Public Works Minister Michael Fortier dismissed senior Quebec adviser Bernard Côté yesterday after it emerged Côté had a romantic relationship with Julie Couillard last year.

Because Couillard is officially listed as an "affiliated agent" of Groupe Kevlar Inc., a Montreal-based property development firm that is involved in at least one multimillion-dollar tender with the public works department, Fortier says he acted immediately to dispel the appearance of a conflict of interest.

Suite

Le mercredi 11 juin 2008
Nouvelle démission: Fortier s'explique

La Presse Canadienne
Ottawa

Le sénateur et ministre non élu des Travaux publics, Michael Fortier, forcé de renvoyer son conseiller politique pour ses relations avec Julie Couillard, maintient que cette affaire ne rejaillit pas sur son gouvernement, ni même sur son ministère..

Suite

Citation :

Le mercredi 11 juin 2008
Bernier sort de l'ombre
Presse-Canadienne

....«Nous avons tous besoin de savoir. C'est pour ça que j'ai demandé une enquête et cette enquête-là je peux vous dire qu'elle va être publique, le rapport de cette enquête indépendante faite par mon «département', le rapport va être rendu public», a-t-il déclaré....
http://www.cyberpresse.ca/article/20080611/CPFRONTPAGE/80611211/-1/CPFRONTPAGE

Mon département .....


Il prend les beaucerons pour des imbéciles comme lui ou quoi.

C'est une entrevue accprdé à CHEQ. L'audio est sur le lien. Quelqu'un
écoute pour savoir du quel de ses départements il parle ?

il voulait parler du ministère des affaires étrangères...

Jean Langlois a écrit:

C'est une entrevue accprdé à CHEQ. L'audio est sur le lien.

Le mercredi 11 juin 2008
Verbatim de l'entrevue avec Maxime Bernier

JEAN-FRANÇOIS ROUTHIER (Animateur) : Depuis le 7 mai dernier, toute cette histoire fait couler beaucoup d’encre. L’histoire à laquelle je fais référence, bien évidemment, c'est l’histoire Bernier-Couillard.
Pour en discuter aujourd'hui, il est le député fédéral de Beauce, ex-ministre des Affaires étrangères. Monsieur Maxime Bernier, bonjour

MAXIME BERNIER (Député conservateur de Beauce; ex-ministre des Affaires étrangères): Bonjour, Monsieur Routhier.

JEAN-FRANÇOIS ROUTHIER : Bonjour. Comment allez-vous?

MAXIME BERNIER : Ça va très bien. Je suis très heureux d’être de retour en Beauce, et… mais, Monsieur Routhier, je ne vous surprendrai pas que j'ai vécu une période très difficile dernièrement.

JEAN-FRANÇOIS ROUTHIER : D’abord, j'ai le goût de vous demander : Physiquement, ça va bien, mais mentalement?

MAXIME BERNIER : Bien, écoutez, mentalement ça a été difficile. Regardez, il faut bien… j'étais ministre des Affaires étrangères. J’ai démissionné, vous savez pourquoi, et… mais j'ai pris quelque temps en repos avec ma famille les premiers jours, et… Mais aussi, j'ai… j'ai cru sentir le besoin de prendre quelque temps avec moi-même en période de réflexion, sans Blackberry, sans cellulaire, sans télévision ni journaux ni radio, et prendre le temps de réfléchir à tout ça et, comme on dit, recharger les batteries. Et puis ça m’a fait du bien, puis maintenant, bien, je suis de retour en Beauce et je suis très, très… très, très heureux d’être ici, et surtout je peux vous dire que… très heureux de l’appui des Beaucerons.

Suite

'I did what I had to do,' Bernier says of resignation
JONATHAN MONTPETIT
The Canadian Press
June 11, 2008 at 9:34 PM EDT

MONTREAL — Emerging from days of self-imposed exile, Maxime Bernier said Wednesday that he had renewed his passion for politics even though his love life has since become a national security concern.

The former foreign affairs minister has kept a low-profile since stepping down last month following revelations he left classified documents at the home of ex-girlfriend Julie Couillard.

Mr. Bernier surfaced unexpectedly on 101.3 FM, a small radio station in the Beauce, the riding south of Quebec City where he won a landslide victory in the 2006 election.

In a telephone interview, he confided that he was back in the Beauce after having holed up somewhere in Quebec.

Suite

Il faut sérieusement enquêter sur Kevlar, c'est clair et précis qu';ils sont derrière toute l'affaire..mais qui est derrière Kevlar???

Le mercredi 11 juin 2008
Bernier-Couillard: Pas le fruit du hasard

Joël-Denis Bellavance et André Noël
La Presse

On connaissait plusieurs détails de la relation sulfureuse entre l’ex-ministre Maxime Bernier et Julie Couillard. Voici enfin qu’on apprend comment leur première rencontre s’est déroulée, à l’instigation d’un groupe immobilier désireux de construire un édifice fédéral à Québec. Le processus n’a pas été vicié par cette relation amoureuse, a soutenu hier le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, tandis que M. Bernier profitait d’une entrevue radio pour sortir de l’ombre.

C’est un dirigeant influent du groupe immobilier Kevlar, Philippe Morin, qui a présenté l’ancien mannequin Julie Couillard à Maxime Bernier, alors ministre de l’Industrie, dans la soirée du jeudi 26 avril 2007 au restaurant-bar Cavalli, rue Peel, à Montréal, a appris La Presse mercredi.

Le Groupe Kevlar inc., dont M. Morin est administrateur et actionnaire, est une société immobilière active à Montréal et à Québec. Il tente depuis plus d’un an d’obtenir un contrat du gouvernement fédéral de plusieurs millions de dollars pour construire un édifice dans la ville de Québec.

En décembre 2006, Michael Fortier, ministre des Travaux publics, avait annoncé que le gouvernement était à la recherche d’un «édifice phare» pour reloger les quelque 700 fonctionnaires fédéraux qui travaillent à Québec.

Pendant l’hiver 2007, Mme Couillard, qui a eu quatre conjoints liés au crime organisé, a suivi un cours pour devenir agente immobilière. Elle a passé ses examens et, tel que le prescrit la loi, elle a dû s’affilier à un courtier immobilier. Elle s’est affiliée le 7 avril à Kevlar. Encore hier, Mme Couillard était l’un des trois agents immobiliers de Kevlar, avec le président du groupe, René Bellerive, et une autre personne.

Suite

When Max met Julie ...
Jun 12, 2008 04:30 AM
Sean Gordon
Quebec Bureau Chief

MONTREAL–The restaurant where then-industry minister Maxime Bernier first met an enchanting brunette named Julie Couillard is a chic Italian eatery and bar frequented by movie stars, beautiful people and, on occasion, gangsters.

Couillard was brought to a dinner gathering, held in Bernier's honour in April of last year, by a colleague from a property development firm with which she had recently become affiliated, sources say.

Suite

Une fois tout les liens fait, HA, mafiosi, endroit de rencontre, passe de Couillard, ex relation de la dame, ses probleme financiers etc... Kevlar a mis dans les pattes d'un ministre cette fille pour une seul et bonne raison obtenir un contrat. Maintenant au tour de Kevlar de s'expliquer et pas juste la dessus...

Citation :

....qui a présenté l’ancien mannequin Julie Couillard à Maxime Bernier, alors ministre de l’Industrie .....

Manequin comme dans hôtesse ....escorte ..... C'est amusant
de voir le journaliste chercher à dire sans dire.

Je ne condamne pas la facon dont Couillard s'organise pour mettre
du pain sur son beurre. Je connais une femme qui ne fait pas d'une question d'amour le mariage avec un millionnaire.

Des hommes comme Bernier ne font probablement pas non plus de
l'amour une priorité du moment que la femme est superbe.

Ce que je condamne c'est que des personnes qui me représentent
manquent de jugement et perdre la tête devant des seins et une bonne
baiseuse.

Kevlar va avoir de la difficulté à avoir des contrats des gouvernements
à l'avenir ....

Et effectivement Canada1 on semble s'éloigner du milieu criminalisé
mais ce serait intéressant quand même de faire les vérifications sur
ceux qui tirent les ficelles chez Kevlar comme vous dites.

Spécial aussi de constater qu'un ministre aussi influent et important
que le ministre des affaires internationales du Canada fréquentent
un restaurant à la porte duquel se tirent dessus la mafia et les HA.

En terminant. L'entrevue radio est pathétique. Et je ne crois pas un mot
de cette enquête publique de son ex-département.

Bam!

Couillard accused of influence peddling as details emerge about first date
DANIEL LEBLANC
Globe and Mail Update
June 12, 2008 at 11:28 AM EDT

OTTAWA — The Couillard affair mushroomed into a case of alleged influence peddling yesterday, following revelations that two Conservative officials discussed a major federal project last year with a woman with past ties to biker gangs.

Federal officials confirmed that Julie Couillard raised the Kevlar Group's bid on a project worth an estimated $30-million in Quebec City with former foreign affairs minister Maxime Bernier and ex-public works adviser Bernard Côté.

The role of Kevlar in the saga appears pivotal, with sources saying last night that it was Philippe Morin, a co-chair of Kevlar, who introduced Mr. Bernier and Ms. Couillard to one another in April of 2007. The then-industry minister and Ms. Couillard ended the evening with drinks at Mr. Bernier's hotel, Ms. Couillard said.

Mr. Morin could not be reached for comment last night.

The revelation raises questions about Kevlar's handling of its bid and Mr. Bernier's role in the major project in the provincial capital north of his riding of Beauce.

suite

Juste un question comme ça, comment Kevlar est devenu si gros?
Intéressant que leur nom d'entreprise soit aussi le nom du materiel utilise pour la fabrication d'un élément important de l'uniforme des policiers: le gilet pare-balles :-)

Jean Langlois a écrit:

Citation :

Spécial aussi de constater qu'un ministre aussi influent et important
que le ministre des affaires internationales du Canada fréquentent
un restaurant à la porte duquel se tirent dessus la mafia et les HA.

Pour ce qui est du resto Jean, il n'y a rien de spectaculaire de le voir la-bas, c'est fréquenté par plein de monde. C'est bon, un peu trop cher a mon goût comperativement a d'autres endroits, mais c'est la place "in" alors ça se paie et ya plein de monde de différent milieu qui y vont, important ou non!

Growing Couillard scandal just 'sordid little inquiries,' Tories say

OTTAWA — The Conservative government continues to maintain that a growing scandal involving national security, conflict of interest, a $30-million government contract and two resignations is nothing but "sordid little inquiries into people's private lives."

Julie Couillard's romantic involvement with senior Tories has already cost Prime Minister Stephen Harper his foreign affairs minister and a top Public Works adviser.

Now new questions are being asked in the House of Commons about Couillard, her past associations with the Hells Angels, and a Montreal property developer, Groupe Kevlar.

Suite

Citation :

Published reports Wednesday said Kevlar's co-chairman Phillipe Morin introduced Couillard to both Bernard Cote and Maxime Bernier last year, and that she in turn discussed Kevlar's bid on a $30-million Quebec city building contract with both Tories.

Citation :

Kevlar's Morin did not return messages Wednesday seeking comment and the government response did nothing to clear the air.

Plus ils fouillent plus ca devient interressant...mais ils l'ont tu mal choisi leur lobyiste Kevlar...a moins que!

How the deal was (almost) done
RHÉAL SÉGUIN
Globe and Mail Update
June 13, 2008 at 5:07 AM EDT

QUEBEC — The Quebec City real-estate deal that has focused renewed attention on Julie Couillard was a major federal government project worth an estimated $30-million. Recruiting Ms. Couillard to help turn the project in the Kevlar Group's favour appeared like a logical choice.

Ms. Couillard got her real-estate licence in Apri of 2007, and "hitched" it to Kevlar president André Bellerive's real-estate broker licence in an effort to promote the company's bid. The road would eventually lead to a relationship with Bernard Côté, a federal Public Works adviser, and then to Maxime Bernier, the federal industry minister at the time.

Suite

Couillard pushed Quebec City project to Tories after firm lost Montreal bid
DANIEL LEBLANC AND INGRID PERITZ
From Friday's Globe and Mail
June 13, 2008 at 4:41 AM EDT

OTTAWA AND MONTREAL — The Kevlar Group was losing out on a major federal contract in Montreal in early 2007 at the same time as Julie Couillard started lobbying two senior Conservative officials in favour of another one of the company's projects in Quebec City, according to government records and sources.

Kevlar wanted to spend up to $25-million to develop a large swath of land that belonged to Canada Post on the Montreal harbourfront. However, another Crown corporation, Canada Lands, used its right of first refusal and snagged the 60,000-square-metre property in a deal that was officially announced on May 2, 2007, a spokesman for Canada Lands confirmed.

Suite

Le vendredi 13 juin 2008
Déménagement de fonctionnaires fédéraux : Côté a dit non à D'Estimauville
Simon Boivin
Le Soleil
Québec

L’adéquiste Jean-François Gosselin s’explique mieux aujourd’hui le refus catégorique de Bernard Côté, conseiller politique démissionnaire et ex-amant de Julie Couillard, de donner sa chance à D’Estimauville pour la relocalisation des fonctionnaires fédéraux.

Lorsque le gouvernement fédéral a annoncé son intention de déménager quelque 700 fonctionnaires dans un nouvel immeuble de l’arrondissement La Cité, fin 2006, le député de Jean-Lesage a souhaité que cela serve plutôt à revitaliser le secteur D’Estimauville.

«On avait obtenu une rencontre avec le ministre Michael Fortier pour lui vendre l’idée de D’Estimauville, explique M. Gosselin. Mais c’est Bernard Côté qui est venu, en juin 2007. Il nous a dit : «Non, oubliez ça, ce n’est pas là que ça s’en va. On a reçu une fin de non-recevoir de sa part.»

Suite

L'affaire Couillard
Une femme d'affaires surprenante
Valérie Dufour et Fabrice de Pierrebourg
Le Journal de Montréal
13/06/2008

L'intérêt de Julie Couillard pour le monde immobilier ne date pas d'hier.

Dans une requête déposée le 5 février 2004 à la Cour du Québec, on apprend en effet que Mme Couillard a besoin de récupérer son permis de conduire - perdu pour avoir accumulé plus de 15 points d'inaptitude - parce qu'elle utilise une voiture dans le cadre de son travail de «promoteur immobilier».

La requête fait notamment valoir que Mme Couillard est propriétaire du holding 9133-3278 inc. et qu'elle doit faire la promotion de son entreprise «chez différents clients» et voir «à l'organisation d'événements spéciaux tels que du bénévolat pour les élections fédérales».

http://www.canoe.com/archives/infos/quebeccanada/2008/06/20080613-072700.html

Un maudit bon scénario de film ou de série, mais qui pourrait bien joué la sulfureuse Julie? Les promoteux malotru? Le politicien trop amoureux...

JULIE COUILLARD AND MAXIME BERNIER
No substitute for common sense
June 13, 2008
Globe and Mail

Stephen Harper's Conservatives came to office on the promise of cleaner, more transparent and more accountable government. Through the Federal Accountability Act, one of their first pieces of legislation, they made a concerted effort to make good on that promise. Among other reforms, they tightened lobbying rules, introduced a new Conflict of Interest Act, added new rules for government contracts and ramped up whistleblower protections - all aimed at avoiding scandals and ethical breaches such as those that had ensnared the Liberals. But as the one-woman wrecking crew otherwise known as Julie Couillard has proved, what cannot be legislated is common sense.

Ms. Couillard's own judgment is not in question - at least not when it comes to advancing her interests. In her notorious television interview last month, she complained that her life had been "destroyed" when former foreign affairs minister Maxime Bernier failed to stand by her when her colourful past and dubious associations came to light. But a different picture has since emerged, one in which she appears to have been less a victim than a savvy operator exploiting the egregiously bad judgment of people who should have known better.

What, precisely, Ms. Couillard was hoping to achieve remains unclear. But it increasingly appears that the Quebec City-based Kevlar Group deployed her in a rather novel attempt to navigate its way around Ottawa's restrictive lobbying rules. Ms. Couillard, who was completing training as a real estate agent early last year, struck up an affiliation with Kevlar's real estate branch as it bid on two major federal projects. She proceeded to date Bernard Côté, then a senior adviser to Public Works Minister Michael Fortier, and Mr. Bernier, then the industry minister, to whom she was reportedly introduced by Kevlar co-chair Philippe Morin. And with both men, it seems, she discussed Kevlar's $30-million bid for a federal project in Quebec City.


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THE BERNIER AFFAIR: SECURITY
RCMP won't explain silence on Couillard

TU THANH HA
With a report from Campbell Clark
June 13, 2008


Privy Council Office wasn't told of Bernier's girlfriend's past ties to criminals, Mounties acknowledge as real-estate deals come to light
In the spring of 1998, Julie Couillard was under surveillance by RCMP drug investigators who, in a court affidavit obtained by The Globe and Mail, stated that she was "known to our police services."

Her past association with criminals was part of the initial outcry that led to Maxime Bernier losing his job as foreign affairs minister.

While senior RCMP officials have confirmed they had been aware of Ms. Couillard before the controversy became public, the national police did not raise the subject with the Privy Council Office, the central government department that reports to the prime minister.

Yesterday, an RCMP spokesman, Sergeant Sylvie Tremblay, would not specify the reasons the force did not alert the government, but noted that "many people come into contact with or come to the attention of the RCMP in the course of our day-to-day duties. The fact that the RCMP knows, or knows of, an individual is not a reasonable basis to draw any adverse inference about that individual."

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Je me demande si Julie Couillard utilise le condom.