Les cols blancs poursuivent le FM-93

Ben tabarouette, j'avais manqué ca au début du mois.

[quote]

Citation :

Le jeudi 5 juin 2008
Stéphane Dupont
Sous étroite surveillance
JEAN-FRANCOIS RACINE
jfracine@mediamatinquebec.com


Pendant que plusieurs se plaignent du retour de la trash radio à Québec, l’animateur du midi à CHOI, Stéphane Dupont, a choisi de ménager ses attaques envers le maire Régis Labeaume, qui songerait sérieusement à déposer une poursuite contre lui.

«Soyons clair, ce n’est pas le retour de la radio poubelle, puisqu’elle n’a jamais existé. Effectivement, ça brasse pas mal et j’ai pris la décision d’arrêter de parler de l’administration municipale pour les prochains mois. Autant des bons coups que des mauvais. Si c’est de la censure, c’est ma décision. Je ne veux pas être dans le trouble. Les écarts que d’autres ont faits, je ne veux pas les répéter si je veux continuer dans le milieu. Je passerai peut-être pour un peureux, mais je suis capable de trouver d’autres sujets en ondes», dit-il.

Au cabinet du maire Labeaume, son entourage laisse planer le doute. «Effectivement, des avocats surveillent attentivement ses propos. Le maire tient à sa réputation. On ne va pas plus loin pour l’instant», a dit l’attaché de presse, Paul-Christian Nolin. Ce dernier affirme avoir déjà entendu Régis Labeaume se désoler du retour de ce style d’animation. Une éventuelle plainte au CRTC n’a pas été écartée non plus.....

....Diffamation, acharnement ou harcèlement? Dupont repousse les accusations. «J’ai la conviction de n’avoir commis aucune faute. Je tourne plus souvent les choses au ridicule. J’ai l’appui des patrons, mais la pression m’a écœuré. Le maire m’apparaît surexposé. Il fait trois conférences de presse par jour et il peut parfois être critiqué», ajoute Stéphane Dupont, qui domine facilement le marché à l’heure du midi. En 2007, l’expert-conseil Claude Thibodeau avait dit de lui qu’il faisait de la radio de «moron».[/
http://www.mediamatinquebec.com/?Section=Accueil&id=10106

Dupont a des enfants.

Le maire Labeaume est une ordure.

Amusant quand même de voir le maire tenter de modérer un animateur
qui le dénigre et quelques jours après un syndicat tenter de modérer
un animateur qui dénigre le syndicat.

Vous êtes des ordures !

Des bums. Des batailleurs de ruelles. Des gros bras.

Dans les circonstances Dupont a fait le bon move. Ne plus en parler.
Labeaume aura bien besoin du show le plus écouté pour faire élire
ses candidats.

J'espère que ce moment venu Dupont va se souvenir. Pas de réconciliations avec Labeaume. Pas d'entrevues avec ses candidats.

Toute la place aux indépendants ou marginaux.

Les gars il faut se vanger puisque les auditeurs pour qui ont va au casse-pipe s'en contre-câlicent.

Labaume c'est un p'tit bum. Et sa maison ? Après les esclandres médiatiques qu'il a fait pour dénoncer une accusation d'obtention très rapide d'un permis de construire est-ce qu'on sait la vérité. Ca a pris deux
semaines pour avoir le permis. Est-ce la norme ? Jamais eut de réponse
lâ-dessus. Labeaume a intimidé tout le monde et le sujet est mort.

Et je lis ici des commentaires admiratifs pour ce pygmé parvenu ....

Ce gars là a mis une ville au cul d'un travailleur qui a deux enfants.

Qu'a dit Dupont au fait ? Pourquoi le journaliste ne répète pas ?
J'aimerais savoir si on parle de criage de noms ou de diffammation.

Citation :

Pas le premier

Cette histoire rappelle celle de l’ex-maire Jean-Paul L’Allier qui avait déclaré la guerre aux animateurs Jeff Fillion et André Arthur en dénonçant, dans une lettre envoyée au CRTC, ce qu’il appelait, en janvier 2004, la trash radio.

À moins d’un mois des audiences publiques du CRTC qui devait statuer sur le renouvellement de la licence des stations visées, M. L’Allier avait demandé à l’organisme «d’exercer pleinement le mandat qui est le sien de par la loi et dans l’intérêt public».

En 1990, un conflit avait également opposé le quotidien Le Soleil et la station CHRC. Parlant de «pollution des ondes», l’éditeur de l’époque, Robert Normand, avait réclamé la suspension du permis d’exploitation de cette station où sévissait André Arthur à l’époque.