- Citation :
- Assemblée nationale
L'ADQ ne veut pas de Vallières
La Presse Canadienne Rémi Nadeau
25/08/2008 17h53
....Dans l'entourage de Mario Dumont, on rappelle que c'est le président du caucus des députés libéraux qui martelait l'expression «girouette» pour désigner le chef de l'opposition officielle.....
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/08/20080825-175334.html
Des full patchs libéraux ont aussi de la mémoire.
Yvon Racine, résident de la côte de Beaupré, un retraité top shap dans la soixantaine est un d'eux.
Un jour je lui expliquais pourquoi les libéraux qui ne présentaient pas de candidat dans Charlevoix devaient voter ADQ pour contrer Pauline.
Depuis il a décidé que j'étais adequiste .
Alors il me parle souvent de "la Girouette".
Lui il est en campagne 365 jours par année. Il en parle à tout le monde.
C'est un genre de langue sale professionnelle.
Je l'ai d'ailleurs nommé président du club des langues sales de Beaupré.
Il succède à Donald Tremblay.
Tout ca est enregistré par le secrétaire-trésorier du club André Sévigny.
Si vous passez dans le coin le club se réunit le samedi matin. Ca commence vers 5h et le membres défilent jusqu'à 6h30 le matin.
Le président Racine parle de Dumont comme une girouette à tout le monde !
C'est un genre de goon partisan.
Dumont le sait que ce qualificatif est gardé en mémoire partout au Québec par de tels goons et ca va lui péter dans la face à la prochaine élection.
Les libéraux vont se servir de ca.
Dumont est l'artisan de son malheur. Il n'aurait pas du faire un plat autour de ca et il ne devrait pas en faire encore un avec cette histoire
de présidence de l'assemblée-nationale.
- Citation :
- Le mercredi 17 octobre 2007
Le terme «girouette» banni de l'Assemblée nationale
Tommy Chouinard
La Presse
Le premier ministre Jean Charest est forcé de renoncer pour de bon à l'une de ses attaques préférées en Chambre contre Mario Dumont. Désormais, il ne pourra plus traiter son adversaire adéquiste de «girouette».
Le président de l'Assemblée nationale, Michel Bissonnet, a décrété hier que cette expression est «blessante» et s'ajoutera à la liste des termes «non parlementaires», comme le mot «menteur» par exemple.
L'incident est survenu à la période des questions. Piqué au vif par une attaque de l'ADQ au sujet des infrastructures, Jean Charest a qualifié Mario Dumont de «girouette nationale du Québec» pour illustrer que le chef de l'ADQ change d'opinion au gré du vent.
Michel Bissonnet s'est levé aussitôt pour demander au premier ministre de «retirer ses propos».
Jean Charest a voulu plaisanter en ne retirant que le mot «nationale». Cette réponse a provoqué l'hilarité chez les députés, mais le président de l'Assemblée nationale n'entendait pas à rire. Il a demandé encore une fois à Jean Charest de retirer le mot «girouette».
À contrecoeur, le premier ministre a finalement retiré ses propos, se permettant tout de même d'égratigner au passage Mario Dumont. «Je ne voulais pas mettre le chef de l'opposition officielle mal à l'aise puis lui causer une crise d'identité, M. le président, alors je vais retirer le mot.»
En vertu de la décision rendue hier par Michel Bissonnet, «girouette» devient le 222e mot inscrit à la liste des «propos non parlementaires». L'article 35 du règlement de l'Assemblée nationale précise qu'un député ne peut «se servir d'un langage violent, injurieux ou blessant à l'adresse de qui que ce soit».