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 Conservateurs bashing

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Francois




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MessageSujet: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyMer 29 Juil 2009 - 22:45

Depuis 2 jours, La Presse est sur le cas des programmes de subventions aux festivals. Les journalistes parviennent mal à cacher leur biais contre le gouvernement Harper, même s'ils ont bien peu d'arguments à fournir...

Citation :
Les récents refus signifiés par Industrie Canada à des festivals qui avaient fait une demande de financement commencent à inquiéter le président du Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI), Luc Fournier, qui se questionne sur la façon dont sont attribuées les sommes.
Source

Luc qui? Qui paye cet homme? Est-on devant un organisme privé chargé d'effectuer du lobby en tirant son financement de ses membres, des organismes financés par le public? Bref, une autre fédération des cégeps du Québec? Mr. X et Mme Y sont financés par le gouvernement. Mr. X et Mme Y prennent cet argent et engagent Luc chose pour demander au gouvernement plus d'argent? C'est bien ça?


Citation :
«Est-ce qu'ils ont dans leur poche arrière 25 événements qu'ils ne nous ont pas encore annoncés? Je ne le sais pas, mentionne M. Fournier. Mais quand je fais le décompte, je suis loin du compte. Je suis un peu embêté. Qu'est-ce qui se passe dans les analyses? J'aimerais ça comprendre mieux.» Pour trouver réponse à ses questions, M. Fournier a tenté de joindre les gens d'Industrie Canada à plusieurs reprises. Ses nombreuses tentatives sont toutefois demeurées infructueuses. Puisqu'il n'est l'organisateur d'aucun événement en particulier, il lui est difficile de pouvoir parler à quelqu'un.

Bref, ce monsieur Fournier travaille pour un organisme bidon et nous avoue qu'il n'a aucun poids, il n'arrive même pas à parler aux fonctionnaires. Pourquoi on s'intéresse à lui s'il n'est même pas assez important pour pouvoir parler à quelqu'un? Pourquoi on ne va pas voir les dirigeants des festivals concernés ou ceux des festivals qui ont réussi à avoir des subventions?

Citation :

Devant le mécontentement de ceux qui n'ont pas reçu leur part du gâteau, Industrie Canada a répondu au cours de la dernière semaine qu'il avait reçu 150 demandes de partout au pays et qu'il était impossible de donner une réponse favorable à tout le monde.

Dieu que ça fait du bien d'entendre une fois de temps en temps "il n'y en a pas assez pour tout le monde".

On sait tous que les événements qui ne recevront pas de subventions se tiendront quand même cette année malgré ce manque à gagner. Par conséquent, pourquoi ont-ils besoin de subventions s'ils arrivent quand même à exister sans elles? Les festivals devraient pouvoir compter sur de l'aide pendant une durée maximale. Après ça, s'ils ne sont pas capables de survivre, too bad. Les citoyens n'ont pas à soutenir des événements qui ne peuvent survivre seuls.

On trouve d'autres moyens de plugger un peu de conservateurs bashing dans l'histoire. Messieurs et mesdames de La Presse, votre jupon dépasse. Où est l'autre côté de la médaille?

Citation :
Divers/Cité, le festival Nuits d'Afrique, l'International des feux Loto-Québec et le Mondial des cultures de Drummondville comptent parmi les événements estivaux qui n'ont pu bénéficier de l'aide financière provenant du PMTR, géré par Industrie Canada

Pourtant, hier on disait :

Citation :
Des raisons idéologiques. Voilà ce qui a poussé Industrie Canada à priver le festival gai et lesbien Divers/Cité d'une subvention de 155 000 $. Cela, même s'il était admissible à une aide financière, estiment les partis de l'opposition à Ottawa, qui dénoncent vertement la décision prise par le gouvernement de Stephen Harper.
Source

Donc, pour Divers/Cité, c'est une décision idéologique. Pour le Mondial des cultures ou les feux Loto-Québec, qu'en pense l'opposition?

Pourquoi on ne peut jamais rien refuser aux gais sans se faire traiter d'homophobes?
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Kiki_Rodriguez




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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyJeu 30 Juil 2009 - 6:26

Que les gays cessent de se plaindre de tout...

C'est vraiment désagréable...


Y'A PAS UNE CENNE... LE PAYS EST DANS LE DÉFICIT ! Messemble que les parades de tout nu, on est pas obliger de financer ça...
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Jean Langlois
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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyJeu 30 Juil 2009 - 11:34

Francois a écrit:
Luc qui?
Citation :
De retour dans la région
Luc Fournier nouveau directeur général du CUA



12/10/2008 11:24:31 AM
Monsieur Serge Roy, président du Centre universitaire des Appalaches, nous informe de la nomination de monsieur Luc Fournier à titre de directeur général, qui entrera en fonction le 5 janvier 2009.

Monsieur Fournier est une personnalité qui a fait sa marque par ses implications dans de nombreux événements locaux, nationaux et internationaux. D’abord, plusieurs se rappelleront qu’il a fondé l’Office du tourisme et congrès de Beauce en 1988.

Bien entendu, ceux qui ont suivi son cheminement savent qu’au cours des dernières années, Luc Fournier a occupé plusieurs fonctions dans la gestion d’événements. Il est présentement président-directeur général du Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI). Cet organisme regroupe de nombreux événements comme le Festival de Jazz de Montréal, le Festival Juste pour Rire, le Carnaval de Québec, etc.

Depuis 2002, il est également chargé de cours à l’Université Laval. Ses expériences sont diversifiées tant dans la planification stratégique, la consultation, l’enseignement, l’organisation et la coordination d’événements. Jusqu’en 2008, il a coordonné le Conseil québécois de l’industrie touristique (CQIT). Au fil des ans, monsieur Fournier, tout en agissant comme consultant pour diverses organisations, a été le directeur général de nombreux événements d’envergure internationale tels que le Carnaval de Québec, les Jeux du Québec Hiver 1997 et le 250e Anniversaire de la Beauce.

Détenteur d’un baccalauréat en récréologie et ayant effectué sa scolarité à la maîtrise en gestion de petites et moyennes organisations, monsieur Fournier saura mettre à profit ses expériences et ses connaissances pour le développement de l’offre universitaire ......
http://www.editionbeauce.com/actualites.asp?nID=6747&Cat=1
Je cherche des réponses pour les autres questions.

Citation :
Qui paye cet homme?

Citation :
Pourquoi on ne peut jamais rien refuser aux gais sans se faire traiter d'homophobes?
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Francois




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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyJeu 30 Juil 2009 - 18:50

Merci Jean. Son CV est impressionnant. Si je cherchais un bon lobbyiste pour aller chercher des subventions, je l'embaucherais sans réfléchir.

La "couverture" de l'affaire se poursuit aujourd'hui. Cette fois, l'article vient de Marc Cassivi.
Citation :

Une impression d'arbitraire

(...)

Le Québec compte près du tiers des manifestations subventionnées, pour plus de 40% des sommes allouées. Mais tout n'est pas parfait.
Source

Mais tout n'est pas parfait? À 40% de subventions pour 23% de la population, je ferais attention à mes demandes...

Citation :
Les conservateurs, en mode «séduction» depuis la gestion catastrophique des coupes en culture - qui aurait coûté sa majorité à Stephen Harper - regretteront évidemment ce nouveau fiasco de relations publiques. Quand ce n'est pas les artistes, c'est les homosexuels...

On dirait les chrétiens du temps de Jésus. Un peu plus et on les sacrifie dans un Colisée.

Citation :
Ce n'est pas parce que l'on demande une subvention que l'on reçoit une subvention. Et ce n'est pas parce que l'on répond aux critères d'attribution d'une subvention que l'on doit recevoir cette subvention. Sauf que la question se pose. Le refus d'une subvention de 155 000$ à Divers/Cité dans le cadre du Programme des manifestations touristiques de renom a-t-il un lien avec l'attribution, contesté au sein du caucus conservateur, d'une subvention de 400 000$ à la Gay Pride de Toronto?

Bref, du Pacifique jusqu'à Ottawa, les conservateurs n'adoptent de politiques homophobes, mais dès qu'ils traversent à Gatineau c'est une autre histoire...

Ah oui, c'est vrai. Après avoir attribué la subvention à la Gay Pride de Toronto, la ministre s'est vu retirer la gestion du programme à cause de l'extrême droite religieuse. lol!

Pourquoi La Presse ne se paye pas un sondage sur l'opinion du public face à la parade gaie? Êtes-vous d'accord, oui ou non, à ce que le gouvernement du Canada finance la parade de la fierté gaie à Montréal.

La clique gaugauche aurait peut-être des surprises...
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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyJeu 30 Juil 2009 - 19:57

et des maudites surprises !!!! je connais plein de monde incluant des gays qui considèrent que la parade de la fierté gay n'a plus sa place, et cela depuis de nombreuses années...assez c'est assez bâtard !!!
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Jean Langlois
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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyJeu 30 Juil 2009 - 22:15

Francois a écrit:
.....
Pourquoi on s'intéresse à lui s'il n'est même pas assez important pour pouvoir parler à quelqu'un?
PCQ lui est son organisation ne sont plus montrable. Oxygene9 ca vous dit qq chose ? Ca a causé la chute du PQ en 2003.

source

CtrlF recherche REMI pour ne pas tout lire.


Dernière édition par Jean Langlois le Ven 31 Juil 2009 - 9:41, édité 1 fois
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Francois




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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyJeu 30 Juil 2009 - 23:01

Wow Jean, je m'attendais à de la magouille, mais vous avez mis la main sur quelque chose de très intéressant...

Voici quelques extraits du texte :

Citation :
Puisque Oxygène 9 aurait reçu 400 000$ pour avoir déniché ces subventions gouvernementales de l'ordre de 30 millions pour le Regroupement des événements majeurs internationaux (REMI)

Citation :
Notons que Raymond Bréard, en tant que secrétaire et directeur général du REMI de septembre 1998 à avril 2001, recevait aussi 8 000$ par mois de cet organisme

Citation :
Raymond Bréard serait donc arrivé au REMI le 18 septembre 1998, un mois après avoir quitté ses fonctions en tant que chef du cabinet de Bernard Landry. Il aurait par la suite rencontré Bernard Landry le 12 février 1999, soit cinq mois plus tard, en tant que représentant du REMI, en vue de convaincre M. Landry d'accorder un financement plus important aux grands événements culturels

Citation :
Lorsque la question de ses liens avec Oxygène 9 éclate au grand jour, Raymond Bréard se défend d’être un lobbyiste. Il nie précisément avoir eu des liens inappropriés avec le REMI: « Je n'étais pas un lobbyiste. Je n'ai pas fait de lobby. J'ai passé mon temps à monter un dossier avec des gens qui avaient un problème de financement et qui ne savaient pas comment le résoudre. J'ai fait une rencontre avec le vice-premier ministre,
Pierre Marc Johnson et les autres membres [du REMI]. Point final.»

Bref, on demande à un lobbyiste représentant un organisme chargé d'obtenir plus de financement auprès des gouvernements et lié de très près au PQ, et dont l'actuel président du C.A. est toujours Pierre-Marc Johnson (un ancien premier ministre... péquiste) ce qu'il pense du fait que certains événements n'ont pas reçu de subventions, et en plus suite à une décision d'un gouvernement conservateur?

Et si Bréard touchait 96,000$ par année à l'époque, j'imagine que Luc Fournier doit être payé autour de 100,000$ lui aussi. En clair, nous, citoyens, nous retrouvons à payer indirectement Luc Fournier pour qu'il nous demande encore plus de cash. Il y en a combien d'autres des organismes comme ça en plus de la fédération des cégeps et du RÉMI?
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Francois




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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyJeu 30 Juil 2009 - 23:06

Est-ce que M. Fournier se serait fait rabrouer par ses membres? La semaine dernière, le 22 juillet plus précisément, il déclarait pourtant ceci :


Citation :
Au total, le Québec a reçu 42 pour cent des fonds alloués pour 2009, comparativement à 41 pour cent pour l'Ontario, dont la population est pourtant plus importante.

"Je crois que nous avons traité Montréal et Québec de manière très équitable", a fait valoir M. Clement.

Le président du Regroupement des événements majeurs internationaux (REMI), Luc Fournier, est prêt à lui donner raison. A son avis, "le gouvernement a fait sa job et il l'a fait vite", en ce qui concerne le PMTR.

M. Fournier préfère attendre de connaître les motifs d'Ottawa avant de se prononcer, mais pour le moment, il refuse de croire qu'"une certaine forme d'homophobie" est à l'origine du refus signifié mardi aux organisateurs de Divers/Cité.

Source

Pourquoi ce changement de cap en une semaine?
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Jean Langlois
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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyVen 31 Juil 2009 - 11:07

Merci Francois d'avoir mis les extraits.

Le cas de Fournier est un bon exemple des journalistes qui
donnent de la crédibilité à n'importe qui ou à n'importe
quelle organisation.

Ce qui est tordu aussi c'est que le 30 millions c'était pour
créer une autre patente (SEMIQ) qui elle allait distribuer les
30 million sur 3 ans.

Le 30 millions c'était pour distribuer directement aux
évènements ou Festivals. Mais il y avait aussi un aliéna
qui lui permettait de financer autre chose.

Quelle organisation qui n'organisait rien a recu $146,000 de
la SEMIQ dès la première année ?

Le REMI !

Le REMI (Privé) crée le SEMIQ (OSBL) et le SEMIQ lui donne
de l'argent.

La ministre Beauchamps a fermé la SEMIQ (2003)
Citation :
Les grands festivals

« Le principal changement dans le financement des grands festivals, c'est la disparition de la Société des événements majeurs internationaux du Québec (SEMIQ), un organisme à but non lucratif qui avait été sévèrement critiqué par la Vérificatrice générale du Québec....Le budget de la SEMIQ, neuf millions de dollars, a donc été rapatrié à Tourisme Québec
http://www.scena.org/lsm/sm9-1/Line-Beauchamp.htm
21 millions avait donc été donné aux organisateurs de
festivals en moins de 3 ans. Ceux qui s'occupait de la
SEMIQ étaient les organisateursde festivals. Ils se
donnaient donc de l'argent entre eux. Mais pour faire ca
en hypocrite il passait par une firme de lobby (Oxygene)
à qui il donnait de l'argent.

Citation :
Ce fonds de 30 millions est géré par la SEMIQ et distribué sur trois ans aux grands événements culturels, sportifs et de divertissement. La majorité des bénéficiaires, dont le Festival Juste pour rire, le Festival de jazz, le Carnaval de Québec, le Mondial des cultures de Drummondville et le Festival international de Lanaudière, sont membres du Regroupement des événements majeurs internationaux (REMI), qui est au coeur de la controverse des dernières semaines. Malgré des règles d'attribution ne nécessitant aucun intermédiaire, les membres du REMI versent une ristourne de 1,5 % des subventions reçues à une firme de lobbying, Oxygène 9, pour qu'elle les aide à obtenir l'aide gouvernementale.
http://archives.vigile.net/ds-affaires/docs/02-2-14-ld.html
Citation :
Les fonds sont gérés par un conseil d'administration formé de gens impliqués [dans les événements subventionnés]. Ça, je trouve ça très spécial. Ils sont parties prenantes. C'est incongru, inacceptable dans la gestion de l'administration publique et très difficile à expliquer.»
Citation :
Pierre Marc Johnson (festival juste pour rire) fait enregistré comme organisme sans but lucratif la Société des événements majeurs internationaux du Québec (ou SEMIQ) le 8 mars 2000 , soit à peine une semaine avant le dépôt du budget dans lequel le ministre des Finances Bernard Landry annonce une subvention de 30 millions sur trois ans ...

David Heurtel devient le premier secrétaire général de la SEMIQ le 5 juin 2000. Il arrive lui aussi du Festival Juste pour rire, où il s'occupait des relations avec les gouvernements. «Avant, je demandais les subventions; maintenant, je reçoisles demandes de subvention», déclare-il au Devoir quelques semaines après son entrée en fonction. Au printemps dernier, M. Heurtel a été nommé attaché politique au cabinet du premier ministre Landry. Il y est resté jusqu'à la mi-octobre. Depuis, il est dans le sillage d'Oxygène 9.
http://archives.vigile.net/ds-affaires/docs/02-2-14-ld.html

Finalement c'est une gang de chum qui sont venu
chercher 21 millions directement dans vos poches pour f
aire marcher leurs patentes et se verser de gros salaires.

Mais une question demeure ! Le SEMIQ n'existant plus
comment se finance le REMI de Luc Fournier en ce moment ?
Que ses membres ? En 2000 les membres du REMI ont
investi $146,000 dans leur patente. Montant doublé
par par la SEMIQ. Donc Budget en 2000 $300,000.
http://www.marketwire.com/press-release/Societe-Des-Evenements-Majeurs-Internationaux-Du-Quebec-357897.html

Ouais. Une autre question reste en suspend également.
Celle sur les homos.



.
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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyVen 31 Juil 2009 - 11:54

c'est dégueulasse toute cette magouille là et il y a sûrement d'autres passe-passe qu'on connait pas.
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Jean Langlois
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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptySam 1 Aoû 2009 - 13:24

Un petit peu de Pauline Marois .....
Citation :
Pauline en cinq temps
Une femme et son manoir
Katia Gagnon
La Presse
samedi 19 mai 2007

.......Il faut dire que Pauline Marois n’a pas eu la vie facile sous Bernard Landry. « Il n’avait aucune confiance en elle. C’était peut-être même un peu macho. C’était choquant pour elle. Des commentaires très durs », dit l’un de ses collègues de l’époque.

Faux, dit le principal intéressé, joint à Paris cette semaine. « Je l’ai nommée vice-première ministre. Entre nous, la collaboration était totale. »

En tout cas, pas lors de l’épisode Raymond Bréard. Le directeur général du parti, et ami intime de Bernard Landry, est impliqué dans une affaire de lobbyisme qui sent mauvais. Le comité exécutif national, dont fait partie Landry, prend fait et cause pour Bréard.

Pauline Marois, elle, « sort » pour se désolidariser de Bréard. « Elle l’a tué », résume une source. « Elle a forcé la main à l’exécutif. C’était très courageux. »
http://www.vigile.net/Pauline-en-cinq-temps
Bréard réplique durement dans une lettre publiée dans la Presse également,:
Citation :
« Les jeux de coulisse de Madame »
Raymond Bréard
www.cyberpresse.ca
jeudi 31 mai 2007

Dans son article intitulé « Pauline en cinq temps » (La Presse, 19 mai), la journaliste Katia Gagnon peint un portrait de Pauline Marois et revient sur l’affaire de lobbying impliquant le directeur général du Parti québécois. Elle affirme qu’elle a agi avec courage dans une affaire de lobbying qui « sentait mauvais ».

Pauline Marois aurait eu à ce moment, selon la journaliste, le courage exceptionnel que personne d’autre n’avait eu dans le gouvernement et dans l’exécutif national du Parti québécois. C’est impressionnant.

Cependant, si votre journal souhaite revenir sur le sujet, vous me permettrez d’apporter un éclairage différent sur cet événement. Je ne souhaitais pas intervenir dans cette campagne pour faire des commentaires concernant Pauline Marois, mais vous m’y forcez en m’interpellant de nouveau, en citant mon nom et en l’associant, surtout, et encore, à quelque chose qui sent mauvais.

J’aimerais d’abord régler la question de l’odeur. Cette histoire qui sent mauvais, dit-on, fait référence au dossier du Regroupement des événements majeurs internationaux (REMI), qui avait obtenu un financement important du gouvernement du Québec sous la gouvernance et le patronage du ministre de l’Économie et des Finances de l’époque, Bernard Landry.

Des gens, bien intentionnés, ont suggéré bien des choses dans ce dossier afin de lui donner une certaine odeur, une odeur voulue.

Reprenons les faits : j’ai agi, dans ce dossier, comme conseiller stratégique et non comme lobbyiste. À l’époque, je venais de quitter le cabinet du vice-premier ministre et ministre de l’Économie et des Finances.

Je connaissais, évidemment, le problème de financement des festivals et des événements majeurs de Montréal. J’en avais souvent parlé avec Gilbert Rozon lors des rencontres que nous avions eues le plaisir d’avoir dans le cours des opérations de financement du festival Juste pour rire.

J’ai suggéré à Gilbert Rozon qu’il devait préparer un document qui présenterait au ministre, à la fois, le problème et la solution. Pour réaliser cette stratégie, je lui ai proposé mes services de conseiller en stratégie d’organisation. Je lui ai proposé un plan d’action. M. Rozon a réuni les principaux intervenants du milieu, ses amis et ses ennemis, pour une cause juste et nécessaire pour l’économie de Montréal et des principales régions du Québec.

J’ai été engagé comme consultant en stratégie et nous avons travaillé à ce dossier pendant plus de 18 mois sous la présidence de Me Pierre Marc Johnson. Lorsque la solution fut trouvée et le document rédigé, nous sommes allés la présenter au ministre de l’Économie et des Finances, responsable du tourisme. J’étais présent mais la délégation était présidée par Me Pierre Marc Johnson et il était accompagné des présidents et fondateurs des principaux festivals membres du regroupement.

Il y a eu beaucoup de travail de fait mais pas de lobbying de ma part. Il n’y a pas eu de pressions indues dans les vestibules, les couloirs ou les officines de ministres ou de fonctionnaires au profit de quelques uns et au détriment des autres. Ce dossier a été fait dans la transparence, l’honneur, l’éthique et l’intégrité de tous ceux qui y ont participé.

Oui, bien sûr, nous avons touché des honoraires de 200 000$. Il s’agissait d’honoraires normaux, concurrentiels avec le marché et tout à fait bien mérités. Pas illégal ni immoral.

Il n’y a rien qui ne sent pas bon dans ce dossier. Au contraire. Sauf si quelqu’un, par intérêt, y met de l’odeur nauséabonde.

Des mesquineries

Maintenant, traitons du courage exceptionnel de Mme Marois.

Il faut se rappeler de contexte de l’événement. Il s’est produit dans un contexte précis de guerre larvée que livrait l’entourage de Pauline Marois contre M. Landry et sa garde rapprochée. Je ne parle pas de Pauline Marois, bien sûr, mais de son entourage. Ils visaient, en même temps, Gilles Baril, Claude H. Roy, moi-même et, probablement, quelques autres.

Il faut mettre les événements en perspective pour bien les comprendre. Lorsque Gilles Baril a démissionné c’est parce que Pauline Marois lui faisait la vie dure depuis un bon moment. Cette démission faisait suite à une longue procession de mesquineries dont étaient victimes les « proches » de Bernard Landry. À titre d’exemple, nous devons nous rappeler que lorsque Pauline Marois a fait son premier budget, elle a donné des moyens budgétaires à tous les ministres qui étaient ses supporters et elle s’est délectée en regardant chacun des ministres identifiés au clan Landry en leur disant qu’ils n’auraient rien. Elle a dit à Gilles Baril, en tournant la tête, mon collègue fera tout son programme à même son enveloppe budgétaire actuelle. Elle a dit la même chose à Sylvain Simard.

Elle a également mentionné à Richard Legendre, nouveau député et ami de Gilles Baril, qu’elle ne pouvait lui donner les 25 millions qu’il demandait à titre de ministre du Tourisme alors qu’elle venait d’en donner largement plus à d’autres (c’est sans doute pour cette raison qu’il ne s’est pas présenté au cocktail qui a suivi le budget).

Et dans mon cas Alors dans mon cas, madame aurait agi avec courage au Conseil national de notre parti lorsque des médias avaient fait état, à la une du matin, d’un scandale impliquant le directeur général et ami du premier ministre ?

Le courage, que d’autres n’ont pas eu, de régler un dossier où il y a eu de la magouille, de la malversation, de la fraude ou de l’abus de confiance ou de biens publics ? Si cela avait été le cas, il y aurait eu des suites à ce dossier. Il n’y en a pas eu car il n’y avait rien à reprocher à qui que ce soit !

Le courage, c’est M. Landry qui l’a eu. Il a eu le fardeau de défendre un ami, à contre-courant de l’opinion du moment et contre la tendance de La Presse. Il a défendu, dans des circonstances difficiles, les principes de justice et d’équité de notre société de droit d’une manière responsable, digne de sa fonction, en ayant le fardeau, en plus, de se défendre de défendre un ami. Ce n’était pas facile.

M. Landry savait que je n’avais rien fait de répréhensible. Il l’a dit publiquement et il l’avait également mentionné à Pauline Marois. Il ne m’aurait pas défendu s’il avait eu quelque doute. Et je ne lui aurais pas demandé. M. Landry est un homme intègre qui défendrait même ses ennemis dans de telles conditions.

D’ailleurs, c’était également l’opinion des membres de l’exécutif national qui, après avoir reçus les explications et avoir fait des vérifications diligentes auprès de plusieurs sources, sont arrivés aux mêmes conclusions. Elle, madame, a plutôt choisi de profiter des circonstances.

J’ai quitté, ce jour-là, le Conseil national dans le cadre d’un procès sommaire, rappelons-le, parce qu’elle a défié, sans raison et sans motifs, l’exécutif national et son chef, le premier ministre. J’ai démissionné quelques jours plus tard parce que le premier ministre était coincé dans une guerre fratricide avec sa vice-première ministre qui ne voulait pas lâcher prise.

Mme Marois a eu de l’audace ce jour-là, pas du courage. Elle a décidé de profiter de la faiblesse momentanée du chef pour le défier et saper le pouvoir de son entourage. Elle a menacé le gouvernement par ambition personnelle et non pas par principes ou à cause de valeurs de justice et d’intégrité. C’était là son seul objectif : sa carrière.

Elle n’a jamais dévié de son objectif. Elle a mené une guerre larvée, et subtile, contre M. Landry jusqu’au congrès de juin où il a démissionné, épuisé des jeux de coulisses de madame et de ses fantassins. M. Landry n’aurait jamais fait cela à son premier ministre. Il est fidèle et solidaire en tout lieu. C’est un homme d’honneur dont la loyauté a été reconnue autant dans son discours, dans son attitude et, aussi, dans les épreuves où les passages à vides du gouvernement.

M. Landry nous disait toujours : « Je vais faire avec Pauline ce que Lucien a fait avec moi ». Je lui répondais, inlassablement, en le mettant en garde, que Pauline ce n’était pas lui.

Elle s’est révélée à la hauteur de ce que je pensais. Elle a pris, lors du Conseil national, le chemin de la facilité. Elle a défié le premier ministre, l’exécutif national du parti et le gouvernement, sans raison d’État et, surtout, sans principe fondamental à défendre.

Elle l’a fait sur un jugement sommaire en profitant de la tendance du moment et de l’appui des médias. Oui, elle m’a « tué », comme l’a dit une source à Mme Gagnon.

Mais je n’étais qu’un « dommage collatéral ». Elle m’a surtout tué par ambition, pour son obsession à devenir la première femme premier ministre du Québec. Je n’ai pas été la seule victime : Gilles Baril et Claude H. Roy, le directeur de cabinet du premier ministre, y sont passés également comme tous ceux qui entouraient l’homme à abattre : Bernard Landry.

Mais tout cela est de l’histoire. Un incident pour lequel il faudrait tourner la page, une fois pour toute.

***

Raymond Bréard

L’auteur a été directeur général du Parti québécois de mai 2001 à février 2002.
http://www.vigile.net/Les-jeux-de-coulisse-de-Madame
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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyMar 18 Aoû 2009 - 23:30

Citation :
Journée en dents de scie pour Stephen Harper dans l'Arctique

Harper doit avoir insulté des innus ou annoncé des coupures budgétaires au Nunavut...

Citation :
D'autre part, comme s'il fallait confirmer les problèmes auxquels sont confrontées ces populations, une photo de deux jeunes garçons dormant à l'extérieur d'une épicerie d'Iqaluit à la veille de la visite de M. Harper a eu des répercussions partout au pays.

Citation :
Un communiqué de presse diffusé lundi pour dresser l'itinéraire de M. Harper faisait mention à répétition de la capitale du Nunavut, Iqaluit, mais plutôt en écrivant «Iqualuit». Ce «u» supplémentaire fait une énorme différence dans la langue inuktitut.

Ecrit de la bonne façon, «Iqaluit» signifie «beaucoup de poissons». Mais en y ajoutant la lettre «u», le mot prend une tout autre signification: il fait référence à quelqu'un «qui a le derrière mal essuyé», selon Sandra Inutiq, du bureau du Commissaire aux langues du Nunavut.

Pourtant, la nouvelle la plus importante (et la seule nouvelle concernant Stephen Harper digne d'intérêt à mon sens) était plutôt :

Citation :
Le premier ministre a entrepris sa deuxième journée d'une visite qui durera cinq jours en lançant officiellement une agence de développement régional annoncée depuis longtemps et qui sera responsable de la mise en oeuvre des initiatives fédérales dans la région.

M. Harper a indiqué que l'agence, baptisée CanNor, mettra fin à une situation où les décisions concernant l'économie du Nord étaient prises dans les bureaux du Sud.

L'agence pourra compter sur un budget de 50 millions de dollars au cours des cinq prochaines années. Elle aura son siège à Iqaluit et des bureaux de district à Whitehorse et à Yellowknife. Un bureau chargé des politiques et de la coordination sera situé à Ottawa.

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C'est le journaliste ou le responsable des titres qui est un fan de Michael Ignatieff selon vous?
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Francois




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MessageSujet: Re: Conservateurs bashing   Conservateurs bashing EmptyLun 14 Sep 2009 - 6:53

J'ai beau relire le texte mais je ne vois pas ce qu'ils ont trouvé d'incriminant concrètement... Ça ressemble plus à du name dropping et des allusions sous couverts de faits.

Citation :
Clement a démis une collègue de ses fonctions après l'octroi d'une subvention

Jennifer Ditchburn
La Presse Canadienne
Ottawa

Le bureau du ministre fédéral de l'Industrie, Tony Clement, a demandé aux fonctionnaires d'examiner de près les activités d'événements touristiques importants qui réclament une part de l'aide financière prévue dans le plan de relance du gouvernement, deux semaines après la réception d'une subvention fédérale par le festival de la fierté gaie de Toronto.

Aussi, des documents portent à croire que Tony Clement a joué un rôle direct dans le départ de sa collègue Diane Ablonczy à la tête du Programme des manifestations touristiques de renom.

En juillet, M. Clement avait assuré que le départ de Mme Ablonczy, ministre d'Etat chargée des petites entreprises et du tourisme, n'était pas lié à l'attribution d'une subvention au festival de la fierté gaie de Toronto.

Le porte-parole de M. Clement, Darren Cunningham, avait, pour sa part, alors fait valoir que le programme entrait tout simplement dans une deuxième phase, durant laquelle la gestion incomberait au ministre de l'Industrie.

Mais des documents obtenus par La Presse Canadienne en vertu de la Loi sur l'accès à l'information soulèvent des questions à cet égard.

Le 29 juin, dans une lettre aux fonctionnaires, le chef de cabinet de Tony Clement, Bill King, avait annoncé que les dossiers, les projets et la communication liés au Programme des manifestations touristiques de renom allaient être gérés par le ministre de l'Industrie.

Cette lettre a été envoyée deux semaines après l'annonce par Mme Ablonczy d'une subvention de 400 000 $ au festival de la fierté gaie de Toronto - après cette annonce, des députés conservateurs avaient déploré, lors d'un caucus, le fait que cet événement obtiendrait une aide financière.

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