Archives radio (visuelles)

CJLM 1350 Joliette, en 1985 (source : L'Echo de Louiseville / Berthier, 13 février 1985)



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CIEL-FM 98,5 Montréal (Longueuil), en 1983 (source : Le magazine Affaires, mai 1983)



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CHRC 800 Québec, en 1955 (source : L'Écho de Lotbinière, 23 décembre 1955)



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Il y a un soixantaine d'années la radio cherchait à retenir ses auditeurs pendant le temps des fêtes.

A CHOI depuis hier ce sont des rediffusions des grands moments    des Gravel, Gasse, Maurais, Dupont et peut-être même de MoreauLT.

Pourquoi la radio perd des auditeurs ? Parce ce qu'elle s'en crisse !

À la décharge de CHOI-FM, la licence parlée limite de façon significative les options de cette station, surtout avec Noël qui tombe en plein milieu de la semaine cette année.

Je conviens toutefois qu'une programmation du genre que vous décrivez n'est pas de nature à être attirante pour le public.

-- Le couillon anonyme

CKVL-FM 96,9 Montréal (Verdun), en 1974 (source : Photo-Journal, 1er avril 1974)



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CBM 940 Montréal, en 1966 (source : The Gazette, 11 octobre 1966)



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CJRC 1150 Ottawa/Gatineau, en 1977 (source : La Revue de Gatineau, 23 mars 1977)



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CHLP 1410 Montréal, en 1950 (source : La Patrie, 16 septembre 1950)



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CJMS 1280 Montréal, en 1985 (source : Le Devoir, 7 janvier 1985)



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Pascau était à CKAC si je ne me trompe pas ?

En effet.

Je ne me souviens pas d'avoir vu une pub identifiant nommément son compétiteur à la radio ou ailleurs. Ca a été bénéfique pour Proulx ?

CKAC/Télémédia scoraient très fort à cette époque. Je sais qu'à un certain moment Pascau et Proulx étaient presque côte à côte. Possible aussi que Proulx l'ait devancé. Mais c'était bien après 1985.

Drôle de pub. Ça porte presque à confusion, surtout quand on la voit près de 30 ans plus tard.

Pas sûr qu'on verrait encore ce genre de pubs aujourd'hui.

CJRP 1060 Québec, en 1974 (source : À propos, 2 février 1974)



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CKAC 730 Montréal, en 1969 (source : L'Actualité, décembre 1969)



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CITE-FM-1 102,7 Sherbrooke, en 1980 (source : Le Régional, 11 novembre 1980)



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CKVL 850 Montréal (Verdun), en 1996 (source : La Presse, 11 mars 1996)



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La publicité qui précède a été utilisée par la juge Carole Julien, de la Cour supérieure du Québec, à l'appui de son jugement donnant raison à Daniel Johnson dans sa poursuite contre André Arthur.  Elle a été utilisée de la même manière par les juges André Forget, Louis Rochette et François Pelletier, de la Cour d'appel du Québec, dont le jugement confirmait pour l'essentiel le jugement de la Cour supérieure.

Cette publicité faisait partie d'une campagne plus large qui a eu lieu en mars et avril 1996.  Des publicités avaient été faites sur le même modèle pour Pierre Pascau, ainsi que pour Serge Bélair et Erick Rémy.  Ces derniers y avaient été décrits comme étant «plus fouineux que jamais»; quant à Pascau, on disait de lui qu'il était «plus cinglant que jamais».

Ces derniers faits n'apparaissent nulle part dans les jugements en question.  Est-ce que ce silence a été causé par un manque d'information, par la mauvaise foi, ou par autre chose ? Je n'en ai aucune idée.

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Je profite de l'occasion pour ajouter quelques commentaires au sujet des publicités de CITE-FM-1 et CJMS qui apparaissent un peu plus haut sur la présente page.

La publicité de CITE-FM-1 a aussi paru à la même époque sous une forme pratiquement identique dans La Presse, à la nuance près qu'on y annonçait plutôt la station montréalaise du même réseau, et que ladite station y était identifiée sous le nom de «Radio Cité».  Autrement dit, Télémédia utilisait dans les Cantons-de-l'Est les lettres d'appel (à un accent aigu près !) de sa station montréalaise, et ce tout en n'utilisant pas l'indicatif montréalais à Montréal...

La seconde fréquence mentionnée dans la publicité est celle de CITE-FM-2, réémetteur autorisé en 1979 et dont la fréquence a été modifiée pour le 94,5 MHz en 1983.  Aussi incroyable que cela puisse paraître, le signal de CITE-FM-1, qui diffuse à partir du Mont Orford et qui a un rayonnement exceptionnel, est à toutes fins pratiques absent dans une bonne partie du centre-ville de Sherbrooke, les ondes FM extérieures ne s'y rendant tout simplement pas -- je dois dire que je n'y croyais pas, jusqu'à ce que j'en fasse personnellement l'expérience au début des années 2000.

Le CRTC a été tenté, en 1986, de retirer la licence de ce réémetteur au nom de l'utilisation optimale des fréquences, mais il a dû se faire à l'idée que la géographie de l'endroit rendait une exception nécessaire.

Quant à la publicité de CJMS pour Gilles Proulx...

Jean Langlois a écrit:

Je ne me souviens pas d'avoir vu une pub identifiant nommément son compétiteur à la radio ou ailleurs. Ca a été bénéfique pour Proulx ?

Cyberwing a écrit:

CKAC/Télémédia scoraient très fort à cette époque. Je sais qu'à un certain moment Pascau et Proulx étaient presque côte à côte. Possible aussi que Proulx l'ait devancé. Mais c'était bien après 1985.

Drôle de pub. Ça porte presque à confusion, surtout quand on la voit près de 30 ans plus tard.

Pas sûr qu'on verrait encore ce genre de pubs aujourd'hui.

C'est toujours difficile de prouver l'impact exact d'une publicité en particulier.  La seule chose qui est vraiment claire est qu'elle n'a pas entraîné quelque sorte de miracle immédiat pour CJMS.

En revanche, le caractère pour le moins inhabituel et surprenant de cette publicité lui avait valu, le samedi 26 janvier suivant, un article de Louise Cousineau dans La Presse.  Cet article comparait les techniques de CJMS à celles qui avaient cours dans la guerre du cola qui faisait rage entre Coke et Pepsi.  On y affirmait aussi que ladite publicité, montrée d'ailleurs à nouveau dans l'article (mais en petit format), avait été publiée à deux occasions seulement dans les quotidiens -- deux lundis, le lundi étant la journée où les cotes d'écoute étaient les plus fortes -- et que jamais auparavant on avait vu dans le marché montréalais une station de radio mentionner dans sa publicité le nom d'un animateur concurrent.

Le même article relevait que Proulx était souriant dans l'annonce et que Pascau y était sombre, ce qui lui donnait supposément «une tête vaguement hitlérienne».  Le tout n'avait pas empêché Pascau de réagir en prétendant être content de recevoir ainsi de la publicité gratuite...  Par ailleurs, on affirmait aussi que CJMS avait recours, à la même époque, à des appels automatisés pour publiciser l'émission de Proulx, une autre technique jamais employée auparavant dans la radio à Montréal.

CJMS a subséquemment publié à l'automne 1987 une publicité intitulée «Gilles Proulx, l'homme que Pierre Pascau craint le plus» (on y faisait notamment état de l'affaiblissement de l'avance de Pascau dans les cotes d'écoute), mais dans cette publicité seul le visage de Proulx était présent.

Pierre Pascau a toujours largement devancé Gilles Proulx dans les cotes d'écoute, bien que cette avance se soit effectivement effritée au fil des ans.  Mais lors du dernier sondage où ils s'affrontaient, parmi les 25 à 54 ans, Proulx avait battu Pascau, de justesse, ce qui avait fourni un prétexte à CJMS et Proulx pour déclarer victoire.

-- Le couillon anonyme

CKLM 1570 Montréal (Laval), en 1971 (source : Défi, 21 mai 1971)



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CJBR 900 Rimouski, en 1980 (source : Le Courrier de Trois-Pistoles, 12 mars 1980)



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CJAD 800 Montréal, en 1975 (source : The Gazette, 14 mars 1975)



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De quoi s'agit-il ? Mon anglais me fait défaut.

Un événement s'adressant aux futures mariées, et dont j'ignore (pour l'instant) la nature exacte.

-- Le couillon anonyme

Mon anglais ne me faisait donc pas défaut si je ne comprenais pas tout.