Un peu de respect svp.

http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/01/20070108-071907.html

Citation :

Couple évacué du Liban
Une naissance coûteuse
Martin Bisaillon
Le Journal de Montréal
08/01/2007 07h19 - Mise à jour 08/01/2007 12h09

Pascale Doumit et son conjoint, Georges Breidy, voudrait épargner des milliers de dollars en faisant accélérer la demande de citoyenneté de madame.

Un couple de Canado-Libanais évacué lors de la guerre l'été dernier attend la venue de son premier enfant dans l'angoisse car il devra payer pour l'accouchement.

Georges Breidy est citoyen canadien depuis 1993. Il a épousé une compatriote, Pascale Doumit, au Liban à la fin de 2005.

Le couple s'est ensuite installé dans un village situé à 45 minutes de Beyrouth. Mais l'été dernier, la guerre entre Israël et les terroristes du Hezbollah a changé leur vie.

«Nous n'avions pas le choix de quitter notre pays», dit M. Breidy en se souvenant des bombardements lancés sur son village par l'aviation israélienne.

C'est ainsi que les deux jeunes mariés se sont retrouvés fuyant sur les routes de leur pays. Le 14 août dernier, ils ont été rapatriés, comme 12 000 de leurs compatriotes, par le gouvernement canadien.

Ne voulant plus vivre un tel exode, M. Breidy, qui est chauffeur de taxi, a décidé de s'installer ici avec sa femme, d'autant plus que celle-ci attend leur premier enfant.

«Nous voulons faire toute notre vie ici», lance Mme Doumit, qui est âgée de 31 ans.

Demande de parrainage

Le problème, c'est que la future maman a été admise au Canada avec un visa de visiteur.

Par conséquent, elle n'a pas le droit aux soins de santé gratuits. Son mari a bien déposé une demande de parrainage le 4 octobre dernier, mais il faut six mois pour le traitement d'une telle requête.

Le bébé qui naîtra dans les jours qui viennent à l'Hôpital Saint-Luc n'attendra pas ce délai. Cela signifie une facture de plusieurs milliers de dollars pour le couple qui vit modestement dans le nord de Montréal.

«Nous sommes reconnaissants d'avoir été rapatriés par le Canada et accueillis au Québec. Nous demandons seulement que l'on nous considère comme un cas d'exception parce que nous n'avons pas cet argent», implore Mme Doumit.

Malgré l'inconvénient d'associer cette naissance avec une dette, c'est tout de même avec un grand sourire que la future maman annonce le prénom de son premier enfant.

«Il s'appellera Christophe car il va tout découvrir dans ce Nouveau Monde», dit-elle.

Selon le CHUM, les frais d'hospitalisation pour une mère lors d'un accouchement sont de 3420 $ par jour pour la mère et de 927 $ pour le poupon.

Tournant le dos à son pays d’accueil un homme prend femme et pays.
Le bordel pogne dans ce pays et cet homme revient dans son pays d’adoption
avec sa conjointe. S’il avait pu il ne serait pas revenue, :

Citation :

Nous n'avions pas le choix de quitter notre pays», dit M. Breidy en se souvenant des bombardements lancés sur son village par l'aviation israélienne.

Question en passant. Combien de membres de ce village se sont débrouillé autrement pcq pas de seconde nationalité ?

Le gars ne s’est pas occupé de donner la nationalité canadienne à sa femme pcq il n’avait pas l’intention de venir vivre ici jusqu’à ce que le territoire occupé par des terroristes qu’il habitait soit pris sous les bombes.

Just to bad mon gars.

Pis on parle de moins de $10,000. 100 piastres par mois sur 10 ans au pire.
Personnellement à sa place je fermerais ma gueule ou je retournerais accoucher là
ou les spermatozoides ont été mis en contact avec les ovules plutôt que de demander à un pays bouche-trou de payer.
Un peu de respect SVP.

Qui pilote cette campagne au fait ?

Je gage un vieux deux que des gauchistes organiseront une campagne de financement pour eux.

Hier j'entendais un responsable à immigration Canada dire que nos lois canadiennes disent que nous ne pouvons retourner un immigré dans son pays si cet individu risque la torture ou la mort dans son pays d'origine...en parlant d'un criminel haïtien qui vie au Qc, lequel a commis un crime et est recherché.

Notre mec ici va certainement faire accoucher sa douce pour pas trop cher...j'ai ben hâte de voir qui va mener la campagne de pitié. Je gagerai donc moi aussi un vieux deux mais celui qui est plus vieux que le dernier vieux!!!

kat a écrit:

Hier j'entendais un responsable à immigration Canada dire que nos lois canadiennes disent que nous ne pouvons retourner un immigré dans son pays si cet individu risque la torture ou la mort dans son pays d'origine...en parlant d'un criminel haïtien qui vie au Qc, lequel a commis un crime et est recherché.

L’histoire dont vous parlez est un vrai scandale.
L’haitien en question devait être expulsé du Canada il y a 2-3 ans car la commission de l’immigration le trouvait dangereux pour la société.
Il a plaidé qu’à cause des crimes qu’il avait commis ici sa vie était en danger dans son pays.
Ben calvaire ils l’ont gardé !
Il vient de tirer un gars de l’Ontario dans le dos qui avait osé porter un gilet rouge dans un endroit sous protectorat de gilet bleu.
Bang dans le dos !
Le gars va être condamné, expulsé et va revenir.
Bang, une balle dans la tête ....

Voici un article à ce propos:

Gangs de rue
Brutus a profité d'une mesure d'exception


Mise à jour le vendredi 12 janvier 2007, 7 h 24 .




Jean-Yves Brutus, un Haïtien réputé membre d'un gang de rue montréalais et qui a bénéficié en 2003 d'une mesure d'exception d'Immigration Canada pour éviter la déportation, vient d'être accusé de tentative de meurtre.

En effet, la semaine dernière, Jean-Yves Brutus a été arrêté pour avoir ouvert le feu contre un client d'un restaurant du quartier Saint-Michel, à Montréal, en raison, apparemment, d'une querelle sur la couleur des vêtements portés par le frère de la victime.

Selon le Journal de Montréal, M. Brutus est un membre du gang des Cracks Down Posse (CDP), un groupe criminel reconnu entre autres pour son identification aux vêtements de couleur bleue. Le groupe rival des CDP, les Bloods, s'identifie quant à lui à la couleur rouge, couleur que portait le frère de la victime au moment de sa rencontre avec Jean-Yves Brutus.

Ce malheureux fait divers risque cependant de faire bondir les défenseurs des droits de victimes d'acte criminel comme Pierre-Hugues Boisvenu, président de l'Association des familles de personnes assassinées ou disparues.

Interrogé par le Journal de Montréal, M. Boisvenu s'est indigné en apprenant qu'Immigration Canada a ordonné, en 2003, la remise en liberté d'un individu que les autorités reconnaissaient pourtant comme constituant un danger pour le public.

« Ce qu'on nous dit, c'est que ce n'est pas important s'il représente un risque pour la population canadienne, que ce qui est important, c'est sa sécurité à lui », a déploré M. Boisvenu.

Le ministère fédéral de l'Immigration avait en effet demandé, en 2003, à la commission qui voulait expulser vers Haïti Jean-Yves Brutus en raison de ses activités criminelles de surseoir à sa décision. Lors de l'audience qui conduira à la remise en liberté de M. Brutus, le ministère avait fait valoir que ce dernier risquait d'être emprisonné, tué ou maltraité s'il retournait en Haïti.

L'Agence des services frontaliers dit maintenant qu'elle compte suivre le procès pour tentative de meurtre de Jean-Yves Brutus et qu'elle n'exclut pas de redemander son expulsion s'il est reconnu coupable.

http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/01/12/001-gang-rue-deportation.shtml

Qui était le ministre fédéral de l'immigration à ce moment? Est-ce que le journaliste va aller le questionner?

Vous voulez entendre Denis Coderre là-dessus ?

Citation :

OTTAWA, le 3 octobre 2003 -- L'honorable Denis Coderre, ministre de la Citoyenneté et de l'Immigration du Canada (CIC)

Denis Coderre...