Je pense qu'il ne faudrait pas sous-estimer l'impact de l'alarmisme météorologique. On dirait qu'il y a une surenchère à cet effet entre MétéoMédia et le service météo d'Environnement Canada.
À force d'assister à des soi-disant tempêtes, dont l'intensité réelle n'est même pas proche de ce qui avait été annoncé, il va de soi que la réaction naturelle des gens normaux est de donner beaucoup moins de crédibilité aux avertissements subséquents, et ceci vaut autant pour le grand public que pour les fonctionnaires ou les ministres.
-- Le couillon anonyme