François Bugingo: Un crosseur

Michel Paul a écrit:

Jean-Guy a écrit:

Dutrizac a fait une job de bras ce midi pour défendre son nègre de service en accusant la journaliste d'avoir détruit Bugingo.

Cela faisait un certain temps que ton méprisable racisme n'avait pas été aussi clair. J'ai le plus profond mépris envers des gens comme toi, ton commentaire est à vomir.

Peu importe, les mensonges et faux reportages qu'il a pu faire, cela ne justifie en rien ton commentaire racisme.

Pour un individu comme Benoît Dutrizac, qui n'est pas précisément reconnu pour son respect ou son ouverture d'esprit face aux gens qui ne ressemblent pas à sa petite personne, il peut être de bon ton de délibérément prendre parmi ses chroniqueurs des gens qui peuvent aider à remplir divers quotas; ça peut toujours être utile lorsque viendra le temps de prétendre qu'on n'a rien contre les groupes en question.

L'ennui est que lorsqu'on embauche un individu afin de remplir un quota, la compétence passe nécessairement à l'arrière-plan, puisque ce n'est pas l'objectif premier de la démarche d'embauche.  Et lorsque la compétence n'est pas la priorité à l'embauche, on ne doit pas se surprendre que des incompétents ou des imposteurs se faufilent parfois.

Par ailleurs, à l'époque où il était à l'émission Les Francs-Tireurs, Dutrizac avait déjà utilisé au sujet des gangs de rue formés de Noirs l'expression «gang de nègres» -- ce qui avait valu à Télé-Québec une décision négative du CRTC.  Peut-être que Jean-Guy avait cet épisode à l'esprit lorsqu'il a publié son message...

-- Le couillon anonyme

Couillon anonyme a écrit:

Michel Paul a écrit:

Jean-Guy a écrit:

Dutrizac a fait une job de bras ce midi pour défendre son nègre de service en accusant la journaliste d'avoir détruit Bugingo.

Cela faisait un certain temps que ton méprisable racisme n'avait pas été aussi clair. J'ai le plus profond mépris envers des gens comme toi, ton commentaire est à vomir.

Peu importe, les mensonges et faux reportages qu'il a pu faire, cela ne justifie en rien ton commentaire racisme.

Pour un individu comme Benoît Dutrizac, qui n'est pas précisément reconnu pour son respect ou son ouverture d'esprit face aux gens qui ne ressemblent pas à sa petite personne, il peut être de bon ton de délibérément prendre parmi ses chroniqueurs des gens qui peuvent aider à remplir divers quotas; ça peut toujours être utile lorsque viendra le temps de prétendre qu'on n'a rien contre les groupes en question.

L'ennui est que lorsqu'on embauche un individu afin de remplir un quota, la compétence passe nécessairement à l'arrière-plan, puisque ce n'est pas l'objectif premier de la démarche d'embauche.  Et lorsque la compétence n'est pas la priorité à l'embauche, on ne doit pas se surprendre que des incompétents ou des imposteurs se faufilent parfois.

Par ailleurs, à l'époque où il était à l'émission Les Francs-Tireurs, Dutrizac avait déjà utilisé au sujet des gangs de rue formés de Noirs l'expression «gang de nègres» -- ce qui avait valu à Télé-Québec une décision négative du CRTC.  Peut-être que Jean-Guy avait cet épisode à l'esprit lorsqu'il a publié son message...

-- Le couillon anonyme

Oui... je considère Dutrizac comme étant l'un des individus les plus racistes dans la province. C'est lui qui a qualifié les juifs de malades mentaux et qui a harcelé en ondes au téléphone un proprio de dépanneur parce qu'il ne parlait pas français.

Ça paraissait bien pour lui d'avoir un chroniqueur de l'afrique francophone qui de surcroît est anti-américain.

Pour en revenir au vif du sujet, je trouve dommage que ses anciens employeurs soient restés muets sur les  mécanismes de contrôle et de vérification  tant ah niveau de l'embauche des journalistes pigistes (comment un CV fait sur du faux n'a pu être vérifié) que de la publication des articles.


Je suis tombé sur un de ses anciens articles sur VOIR... et j'avoue qu'en relisant, ça sentait l'aventure romanesque à plein nez.

Bugingo a écrit:

Le 9 octobre 2001, Michel Peyrard, grand reporter de Paris-Match, accompagné de deux guides pakistanais, était arrêté par les autorités afghanes pour entrée illégale dans le pays. Le 19 octobre, une équipe de Reporters sans frontières se rendait au Pakistan pour négocier leur libération. Notre collaborateur FRANÇOIS BUGINGO en faisait partie… Voici son récit incroyable.

Posée au creux de ces rigoureuses montagnes du Sud-Ouest du Pakistan, la ville de Quetta vue d’avion paraît terrassée par le soleil incandescent. Derrière ces montagnes se trouve l’Afghanistan, nom qui hante dorénavant nos nouvelles, qui intrigue, inquiète et fascine. Derrière ces montagnes se trouvent Michel Peyrard, grand reporter de Paris-Match, ainsi que ses deux guides pakistanais arrêtés par les talibans pour entrée illégale dans le pays.

L’idée de venir à Quetta est un coup de poker dont on peut attendre le meilleur comme le pire… Robert Ménard, secrétaire général de Reporters sans frontières, Vincent Brossel, chercheur du bureau d’Asie et moi, chef du bureau du Canada, sommes alors au Pakistan pour négocier la libération des journalistes emprisonnés.

Mon implication dans ce projet est due à un incroyable malentendu: coauteur d’un rapport sur les dérives de la presse (surtout américaine) dans la couverture des attentats du 11 septembre, j’ai acquis (à tort) une réputation d’être antiaméricain. Des radios sud-africaines, égyptiennes, et bien d’autres, majoritairement d’obédience musulmane, m’ont interviewé en relevant avec délectation les cas de censure, autocensure ou excès de patriotisme constatés dans la presse américaine. On a alors décidé de brandir cette neutralité mal comprise pour faire plier les talibans, en espérant que ces derniers ne se rappellent pas un corrosif rapport publié contre eux à peine quelques mois plus tôt…

Dès notre arrivée au Pakistan, une bombe à l’aéroport d’Islamabad est venue nous rappeler qu’ici, c’est la loi de guerre qui s’impose. Face à ces monstrueux enjeux politiques et militaires, sauver la tête d’un "aventurier" qui a commis l’imprudence de forcer la porte de l’interdit semble une entreprise dérisoire.

À l’ambassade du Canada, le grand expert de la région m’a presque avoué que le mieux qui restait à faire était de prier pour le salut de son âme. À l’ambassade de France, le discours était: "Nous avons tout fait, on ne peut plus qu’attendre et espérer!" L’ambassadeur afghan au Pakistan, qui était rentré en consultation à Kandahar, est revenu à Islamabad sans réponse du mollah Omar, chef des talibans.

la suite... http://voir.ca/societe/2001/11/15/journaliste-parmi-les-talibans-lechapper-belle/

et pendant qu'on y est, parlons-en de se fameux Robert Ménard... son organisation était décriée un peu partout à travers le monde. Ces derniers temps, il s'affiche ouvertement auprès du FN et on lui reproche des tendances fascistes.

http://www.lemonde.fr/municipales/article/2014/03/30/beziers-robert-menard-l-ex-bateleur-de-rsf-devenu-embleme-du-marinisme_4391141_1828682.html

Attention...tentative d'un plein de marde de vous faire brailler

http://www.lapresse.ca/arts/medias/201505/29/01-4873782-francois-bugingo-passe-aux-aveux.php

Get lost Bugingo, bye bye

Petit résumé:

Il accepte et prend entièrement le blâme quant au fait qu'il a romancé certaines de ses chroniques avec des anecdotes qui lui ont été raconté. Il en profite pour dire qu'il remettra ses cartes de journaliste. Il se désole par contre  du ton de la chronique  qui semble remettre en question la totalité de sa carrière alors  que , dit-il, LaPresse ( et Mme. Hachey) aurait bénéficié de plusieurs ses contacts.

Il se dit triste que plusieurs collègue qui ui ont voyagé avec lui n'ont offert de leur soutient qu'en privé;

il conclue  en se dissociant des gens qui disent que c'est un complot « racial» envers sa personne, et prend le blâme pour les mensonges qu'il a pu écrire.

https://www.facebook.com/francois.bugingo/posts/10152824187285496

C'est tarminé

Publié le 05 juin 2015 à 17h24 | Mis à jour le 05 juin 2015 à 20h32
François Bugingo remet sa carte de presse

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/societe/201506/05/01-4875684-francois-bugingo-remet-sa-carte-de-presse.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_actualites_747_section_POS1

Le fait qu'il avait cette carte de presse donne une bonne indication sur la valeur de la carte.

Un autre prétentieux qui se fait faire la job de bras... Le Jean-Claude aka Giovanni aurait menti sur son nom, son pays de naissance, ses qualifications, sur son âge et ce qu'il mettait dans les assiettes de clients.

[quote]LES SALADES DU CHEF GIOVANNI APOLLO
Depuis deux décennies, le chef cuisinier vedette du petit écran raconte des mensonges au public québécois. La Presse a fait enquête.
UN PARCOURS JALONNÉ DE MENSONGES
ISABELLE HACHEY
LA PRESSE

En août 2015, le chef Giovanni Apollo a ouvert le Pastapollo, son premier restaurant à Québec. Puisqu’il avait déclaré y servir les recettes traditionnelles de sa « mamma » italienne, il avait décoré les murs de l’établissement de photos de son enfance.

Le Journal de Québec a publié l’une d’elles, en noir et blanc, montrant quatre gamins à l’air espiègle, un tramway à l’arrière-plan. « Un jeune Giovanni Apollo […] dans le petit village italien de la côte amalfitaine où il a grandi », disait la légende.

Le problème, c’est que le cliché en question a été croqué… près de 20 ans avant la naissance du chef cuisinier. Il s’agit de l’œuvre d’un photographe italien, Mario Cattaneo, qui a documenté les rues animées de Naples au début des années 50.

Né le 2 janvier 1970, Giovanni Apollo n’a jamais vécu dans « un petit village italien de la côte amalfitaine ». Il n’a pas davantage vécu à Naples. En fait, il n’a jamais vécu en Italie.

Et il ne se prénomme pas Giovanni.[/quote]

La meilleur de toute cette supercherie..

[quote]L’affirmation de Giovanni
Giovanni Apollo a dit et répété qu’il avait cuisiné pour « François Mitterrand à l’Élysée », comme l’indique son profil LinkedIn. En 2005, Le Devoir soulignait que le chef avait « présidé aux fourneaux du palais de l’Élysée ». En 2001, La Presse rapportait qu’en tant que chef de partie poissonnier, Giovanni Apollo y avait dirigé une brigade de six personnes. « L’Élysée, on s’en fait tout un monde », disait-il, ajoutant avec modestie que ce n’était pas plus exigeant qu’un autre grand restaurant.

La réalité de Jean-Claude
Jean-Claude Apollo n’a pas été chef, ni même cuisinier, au palais de l’Élysée. Il affirme aujourd’hui avoir été mal compris. « Je n’ai pas été à Paris au palais de l’Élysée. J’étais [au restaurant] l’Élysée, à Lyon », affirme-t-il. Et François Mitterrand ? « J’ai cuisiné pour Mitterrand une fois, au Sofitel » de Lyon, soutient-il. M. Apollo y a été embauché en tant que troisième commis de cuisine en 1988.[/quote]

http://plus.lapresse.ca/screens/636e3b3d-512d-48dc-b81f-247c4bb51b53%7C_0.html

Et ce qu'il dit pour se defendre
https://www.lagrangedapollo.com/bio/

Good riddance...arrivederci...adieu!