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| Sujet: Le Conseil de Presse blâme Bouchard pour propos anti-BS Jeu 16 Juil 2009 - 17:06 | |
| http://cnw.ca/fr/releases/archive/July2009/16/c6858.html |
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Jean Langlois Admin
Nombre de messages : 25255 Date d'inscription : 15/07/2006
| Sujet: Re: Le Conseil de Presse blâme Bouchard pour propos anti-BS Jeu 16 Juil 2009 - 22:10 | |
| - Citation :
- Le Conseil est d’avis qu’en utilisant la condition d’assisté social comme motif discriminatoire pour discuter de la question de l’exercice du droit de vote et ce, malgré les mises en garde de ses coanimateurs, M. Bouchard a enfreint la déontologie qui lui impose le respect de la dignité des personnes. Le grief est retenu.
Au vu de ce qui précède, le Conseil de presse blâme M. Sylvain Bouchard et ses coanimateurs ainsi que la station radiophonique CJMF – 93,3, pour préjugés et propos discriminatoires. http://www.conseildepresse.qc.ca/index.php?option=com_content&task=blogcategory&id=33&Itemid=155&lang=fr&did=1699&limitstart=1 Est-ce que le Conseil de Presse est encore en état de rendre des décisions ? - Citation :
- La crise s'aggrave au Conseil de presse du Québec
Paul Cauchon Édition du samedi 30 et du dimanche 31 mai 2009
Le Conseil de presse du Québec connaît une nouvelle crise grave, alors qu'en fin de la journée, hier, le président de l'organisme, Raymond Corriveau, a remis sa démission, tout comme le vice-président Denis Plamondon.
Le Conseil de presse tenait un conseil d'administration spécial qui a duré toute la journée et qui avait pour but de vérifier le consensus chez les membres du conseil.
En début de soirée, Raymond Corriveau avait conclu que «le consensus n'est pas assez fort entre les parties, et le lien de confiance entre les entreprises de presse et le président est brisé», a-t-il indiqué au Devoir.
M. Corriveau, qui présidait l'organisme depuis cinq ans, a donc préféré remettre sa démission.
Le Conseil de presse est un organisme tripartite formé de représentants des journalistes, des entreprises de presse et du public. «Les représentants du public ont songé à tous démissionner en bloc, ajoute Raymond Corriveau, mais ils ont décidé de continuer.» Raymond Corriveau et Denis Plamondon étaient des représentants du public.
Le rôle et le mandat du Conseil de presse font l'objet de discussions depuis un an, et une première crise est survenue fin décembre, alors que plusieurs diffuseurs privés, dont TVA, TQS, Astral et Corus, décidaient de se retirer de l'organisme. La raison officielle: ils préféraient maintenant se soumettre au Conseil canadien des normes de la radiotélévision (CCNR), organisme pancanadien géré par l'industrie elle-même, et qui reçoit des plaintes du public sur les émissions.
Mais c'est le rôle entier du conseil qui est remis en question. «Le mandat du conseil semble être au coeur du problème, explique Raymond Corriveau. Les entreprises de presse ont questionné [sic] le mandat tout au long de l'année.» ....... http://www.ledevoir.com/2009/05/30/252789.html - Citation :
- La crise éclate
Mise à jour le samedi 30 mai 2009 à 17 h 05
Rien ne va plus au Conseil de presse du Québec, dont le président, Raymond Corriveau, a remis sa démission après une journée d'âpres discussions, vendredi. Le vice-président Denis Plamondon a fait de même.
M. Corriveau avait été nommé à la tête de l'organisme en juin 2004, après y avoir siégé comme représentant du public de 1996 à 2001.
L'éclatement de cette crise serait l'expression de divergences sur le rôle et le mandat du Conseil entre les trois parties qui composent l'organisme, soit les entreprises de presse, les journalistes et le public.
Si certains membres veulent confiner le Conseil dans le rôle d'examen des plaintes, d'autres, comme Raymond Corriveau, prônent un élargissement de son mandat pour qu'il puisse se prononcer sur les questions d'éthique et d'information.
De l'avis de Marc-François Bernier, de la Chaire de recherche en éthique du journalisme, cette démission est un signe de plus d'une division au sein du Conseil, qui est une « bonne idée qui ne marche pas ».
M. Bernier soutient que les entreprises adhèrent généralement au Conseil de presse pour se soustraire à une menace de réglementation des gouvernements et non dans un souci de responsabilisation des médias.
En décembre dernier, des diffuseurs privés, dont TVA, TQS, Astral et Corus, ont claqué la porte du Conseil de presse du Québec, préférant s'en remettre au Conseil canadien des normes de la radiotélévision (CCNR).http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2009/05/30/002-conseil-presse-crise.shtml | |
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