André Boisclaire est stupide, niaiseux et cave.

Gilles Parent a fait jouer un extrait d'une emission de Paul Arcand où il recevait notre André Boisclair et il (Arcand) a enfin poser quelque questions concernant l'argent volé alors qu'il etait ministre et si cette argent avait pu servir pour acheter de la cocaïne.

Boisclair a tout de suite été très paniqué en disant qu'il avait été même interrogé par la Suretée du Québec a l'époque mais que aucune accusation avait été portée. Et qu'il entendait des "racontards" qui étaient faux, tout en restant sur la Defensive avec un D majuscule

Ça promet pour les élections !!! Pour ceux qui veulent entendre, Parent a faite passer l'extrait vers 15h55/16hrs!

Boisclaire peut faire ce qu'il veut dans la mesure où ca ne me concerne pas.
Je suis un joueur d'échec sur Yahoo Games. Quand je dis à un adversaire
d'où je viens il me parle de la séparation du Québec du Canada.
Je n'ai pas le goût qu'il me parle d'un PM homosexuel toxicoman fraudeur.

J'aimerais ca ne pas avoir l'air cave à cause de ceux qui sont démocratiquement élu.

En passant.....
Aucun ténor du PQ n'a contre-attaquer pour sauver l'honneur du chef.
Boisclaire a été manipulé par des incompétants.

Pour ceux qui n'ont pas entendu la dernière entrevue qu'osez-montrer-vos-dents Boisclaire à donné à Paul Arcand voici le lien qui vous
permettera de le faire. A la fin ca parle de coke.
http://www.985fm.ca/mp3player.php?mp3=53472.mp3

Pensez-vous que Arcand a donné le ton aux prochaines entrevues
que Boisclaire donnera ? Est-ce que ca va devenir un incontournable
de lui parler de coke ?
Derais, le coké fraudeur homosexuel a-t-il été initié à l'homosexualité
par Boisclaire ?
Il aurait expliqué à un juge que c'est la découverte de son homosexualité
alors qu'il travaillait pour le ministre Boisclaire qui l'a poussé dans la coke.
Ca changerait quoi ? Peut-être rien mais je veux le savoir.

IL est temps de relancer le Couillon Anonyme.

Pourquoi pas.
Pourquoi ?

Peut-être sera-t-il plus disposé à nous entretenir des rumeurs sur Boisclair puisqu'on s'explique mal l'action concertée contre lui au sein du PQ et qu'on s'attend à ce que ces méchants squelettes sortent du placard au cours des prochaines semaines.

André Duchesne de La Presse est un crosseur.

Citation :

Toujours hier matin, à la Première chaîne de Radio-Canada, aucune question sur la cocaïne n'a été posée à M. Boisclair au cours d'une entrevue de près de huit minutes avec l'animateur René Homier-Roy. Chez Arcand, 20 % de l'entrevue a porté sur la cocaïne et des sujets connexes.

Wow 8 mn avec Homier-Roy et aucune question sur la coke !
"Chez Arcand 20% de l'entrevue".
Pourquoi ne pas avoir écrit 5 mn sur 20 ?

Article complet,:

Citation :

Le mardi 06 février 2007
LE CHEF PÉQUISTE EST PIQUÉ AU VIF LORS D'UNE ENTREVUE ACCORDÉE À PAUL ARCAND

Le passé de Boisclair le hante à nouveau

André Duchesne
La Presse

Alors que les rumeurs d'élections provinciales sont de plus en plus persistantes, le chef du Parti québécois André Boisclair a retrouvé la question de sa consommation passée de cocaïne sur sa route, hier matin.

L'affaire s'est passée sur les ondes de l'émission radiophonique matinale de Paul Arcand, diffusée à la radio FM 98,5. Après une entrevue de plusieurs minutes qui a porté tant sur le leadership du chef péquiste que sur ses positions face à plusieurs dossiers chauds, l'animateur a longuement insisté sur la question de la cocaïne.

Il est allé jusqu'à demander à M. Boisclair s'il avait utilisé ou non des fonds publics pour s'acheter de la drogue. La question a piqué au vif André Boisclair.

«Elle est insignifiante, votre question. Je vous le dis comme je le pense», a répliqué le chef péquiste devant l'insistance de l'animateur.

Puis, ce dernier a tenté de le coincer en ressassant l'histoire d'un ancien chef de cabinet de M. Boisclair, Luc Doray, qui a reconnu en 2001 avoir fraudé de 33 000 $ le gouvernement pour entretenir sa dépendance à la drogue. M. Boisclair était alors ministre dans le gouvernement péquiste.

Est-ce à dire que l'échange d'hier matin sera le reflet de ce qui va se passer au cours de la campagne électorale? L'attaché de presse de M. Boisclair, Joël Simard-Ménard, croit que non. «On fait une quinzaine d'entrevues aujourd'hui (hier) et en aucun cas, ce sujet-là n'a été abordé» sauf à l'émission d'Arcand, a-t-il dit. Il n'a pas voulu dire comment s'est terminée la rencontre entre les deux hommes une fois les micros fermés.

Toujours hier matin, à la Première chaîne de Radio-Canada, aucune question sur la cocaïne n'a été posée à M. Boisclair au cours d'une entrevue de près de huit minutes avec l'animateur René Homier-Roy. Chez Arcand, 20 % de l'entrevue a porté sur la cocaïne et des sujets connexes.

Spécialiste de l'éthique en journalisme, Marc-François Bernier, professeur de communication à l'Université d'Ottawa, estime qu'il n'y avait rien de neuf dans les sujets abordés par Paul Arcand au sujet de la consommation de cocaïne d'André Boisclair. «Je n'ai vu rien de nouveau comme questionnement, dit-il. Quand il n'y a rien de nouveau et qu'on tape sur le clou, ça ressemble plus à du harcèlement qu'à une intention d'informer.»

Tout cela l'inquiète face à la campagne électorale à venir. «Est-ce qu'on va faire une couverture de la campagne électorale qui s'en vient encore une fois sur les personnalités ou sur les enjeux?» demande-t-il.

Cela dit, le chef péquiste a profité autant de la tribune de Paul Arcand que celle des autres médias pour marteler ses prises de position dans plusieurs dossiers.

Il a par exemple dit qu'il favorisait un retour des péages sur les routes, qu'il n'était pas d'accord actuellement pour donner des congés supplémentaires basés sur l'appartenance religieuse (comme c'est le cas dans plusieurs commissions scolaires) ou encore qu'il ne fallait pas s'attendre à d'importantes baisses d'impôts sous un gouvernement du Parti québécois, les finances de la province ne le permettant pas.

Il a attaqué le bilan du gouvernement Charest, estimant que le premier ministre a menti à la population tant sur les baisses d'impôt que sur les services de garde.

Il a aussi dit sur plusieurs tribunes que le Parti québécois de 2007 n'était pas celui de 2003, rappelant qu'aux élections provinciales de 2003, certains voyaient le PQ terminer en troisième position. Or, cette année-là, le navire péquiste était piloté par Bernard Landry dont les propos n'ont pas été tendres à l'endroit du chef actuel au cours des derniers jours.