Les femmes ne sont pas drôle

Ah la mégalomanie !

Les femmes ne sont pas drôle mais il y a des drôles de femme.

Citation :

Procès
Il admet l'adultère mais pas la fraude
David Santerre
Le Journal de Montréal
19/12/2006 08h47

Pas facile la vie quand on a trois copines, qu'on décide d'en amener une à Cuba avec les 250 000 $ «empruntés» à une autre, laissée sans nouvelle à Montréal.
C'est ce qu'a raconté Stéphane Marleau hier en témoignant à son procès pour fraude.
L'homme de 38 ans aurait séduit Sylvie Cloutier, connue sur un site Web, puis l'aurait convaincue d'investir 247 000 $ dans ses projets hôteliers au Mexique en retour d'un rendement de 400 à 500 %. Des sous dont elle n'a jamais, tout comme son frère qui a lui aussi donné 44 000 $ à Marleau, revu la couleur.
Marleau sortait de prison en janvier 2004 quand ils se sont rencontrés, chose qu'ignorait la victime. «Ça a été le coup de foudre», jure-t-il.

Malgré le coup de foudre, son coeur restait libre pour d'autres.

C'est qu'à sa sortie de prison, il était comme un «enfant dans un camp de jeu», a-t-il expliqué hier.

«Il y avait au moins deux autres demoiselles que je voyais. J'étais infidèle, mais ce n'est pas grave, on n'avait pas encore eu de relations sexuelles», a-t-il opiné.

Et à la Saint-Valentin, il annulait leur souper d'amoureux, prétextant être au chevet d'un ami blessé dans un accident. «Mais j'étais avec une skieuse et masseuse du Saguenay», a-t-il admis hier.

Mais tranquillement, la chimie s'est installée, et il a laissé tomber les autres.

«L'honnêteté a gagné sur tout. C'était tellement fort entre nous», a dit Marleau.

Un bon jour, il prétend avoir tout dit de son immense casier judiciaire à Sylvie Cloutier. Ce qu'elle nie.

Il lui a dit qu'il était difficile pour un ex-détenu de trouver du travail. C'est alors qu'elle s'est mise à lui verser ses économies, selon lui, pour qu'il fonde ses propres entreprises, dont un bureau de consultant en immigration à la place Ville-Marie, et un restaurant sexy à Montréal-Nord.

Trois copines, un dur choix

C'est par la suite qu'il est tombé amoureux d'une de ses serveuses, puis avec une ancienne flamme, une certaine Mona.

Avec cette dernière, il partait à Cuba le 27 avril, date à laquelle il devait plutôt partir à Cancun avec Sylvie Cloutier et son frère.

«Je suis parti avec Mona, sans avertir Sylvie et son frère. Mon intention était de leur en parler plus tard. On a le droit de changer d'idée... Il faut se mettre dans le contexte. J'ai un resto sexy, je sors avec ma gérante, avec Sylvie et Mona. Mon plan de match, ça a toujours été de faire de l'argent et de rembourser Sylvie», dit Marleau, qui insiste sur le contrat de reconnaissance de dette qu'il a signé devant les avocates Valérie Knafo et Chantal Kadoch.

Au cours du témoignage, il a fondu en larmes en parlant de son père adoptif qui a été dépeint, dans le témoignage de Sylvie Cloutier, comme complice de ses combines.

Le procès Marleau se poursuit aujourd'hui.

Je dirais plutôt qu'il y a de drôles d'hommes!!!!!!

De drôles de gens?

Cibole se faire avoir c'est autant masculin que féminin!

C'est juste pas la même méthode !

On a toujours ben eu une couple de crosseurs mâles en politique dernièrement ... et ben du monde qui se sont faites avoir!

Il n'y a pas beaucoup de réponses ici, mais un fait demeure: crosseur est masculin

Si certains croient qu'elles ne sont pas drôles, d'autres les croient efficaces

Citation :

Le samedi 23 décembre 2006




La brigade des sacs à main fait régner l'ordre en Angleterre

AP

Londres


La police britannique peut désormais compter sur une nouvelle unité d'élite civile: la brigade d'intervention des sacs à main.

Les forces de l'ordre britanniques sont actuellement à la recherche de trois drôles de dames qui, uniquement armées de leur sac à main, ont permis l'arrestation d'un homme recherché. Ces trois femmes n'ont pas donné leur identité après leur exploit.

Le 14 décembre, des policiers en tenue et d'autres en civil poursuivaient depuis plusieurs minutes un homme suspecté de possession d'armes et d'agression contre trois agents sur un pont de la ville de Worcester, dans le centre de l'Angleterre.

Des images de caméras de surveillance ont alors enregistré l'heureuse contribution de ces trois femmes. La première a bloqué le trottoir, forçant le fugitif à courir dans la rue. La deuxième l'a frappé avec son sac à main, avant que la troisième se joigne à elle. Le suspect a alors été contraint de fuir et s'est retrouvé coincé par un homme posté au bout de la rue, qui l'a immobilisé jusqu'à l'arrivée de la police.

«Elles étaient toutes là, vaquant à leurs propres occupations, lorsqu'elles se sont rendues compte en même temps qu'il fallait agir», a expliqué à l'Associated Press Richard Bull, porte-parole de la police de West Mercia. «Elles ne se connaissaient pas, mais elles ont toutes pensé à la même chose».

Malgré l'aide utile de ces trois femmes de choc, Richard Bull explique que la police n'encourage pas la population à participer à l'arrestation de suspects, qui peuvent être dangereux. Mais, dit-il, «nous admirons vraiment ce qu'elles ont fait».

Source: http://www.cyberpresse.ca/article/20061223/CPINSOLITE/61222076/0

Aucun rapport avec le sens de l'humour.

Au contraire.Les femmes ont plus que les hommes le sens de l'humour.Sauf qu'elles l'affichent moins.

En fait, Anonyme, c'est que les hommes ne comprennent pas notre sens de l'humour Ça leur prendrait un décodeur

Citation :

Accommodements
Des stores au YMCA
Tatiana Polevoy
Le Journal de Montréal
20/03/2007 08h18

Exit, les fenêtres givrées au YMCA de l'avenue du Parc. Le Y revient sur sa décision et fera installer des stores que les usagers pourront ouvrir ou fermer à leur guise.

«C'est certain que je ne fermerai pas les rideaux!», a scandé Renée Lavaillante à l'annonce de la décision du YMCA hier après-midi.

Citation :

Etre une femme je pense que j'irais me carresser les seins devant la fenêtre.

PeuImporte a écrit:

Pourquoi ne pas être courageux M. Langlois et ne pas aller vous caresser le pénis devant le Y par solidarité pour les femmes du Y?

Citation :

C'est quoi le rapport ?

PeuImporte a écrit:

Ben et le vôtre ?

Moi c'est pour provoquer la décision sur l'accommodation raisonnable accordée aux Juifs Hassidique!

Je me disais pourquoi envoyer une femme se caresser? Un homme ferait l'affaire, vous en l'occurrence, puisque vous sentiez le besoin de montrer de la nudité pour contrer la décision du Y.

Je me trompe peut-être ...

Citation :

Etre une femme je pense que j'irais me carresser les seins devant la
fenêtre.

Et vous c'est quoi votre rapport ?

Citation :

Plutôt que de faire un finger aux voyeurs juifs je trouvais ca amusant comme idée.
Vous pigez ?

PeuImporte a écrit:

Oui Oui justement c'est très amusant, et moi je me disais aussi que ce serait plus amusant que ce soit un homme ...
Vous pigez ?

Citation :

Aucun rapport.

En tout cas, y'a plein de détours ici. On est rendu dans la vieille rubrique poche LOL.

N'importe quoi pour avoir raison! Je ne suis pas drôle de remplacer les caresses de seins devant la vitrine du Y, par celui du pénis?

***

Il Manque un bout ... Pourquoi?

M. Langlois a oublié (ou omit) ce bout de conversation.

Mais oui y'a un rapport autant que vous avec la femme qui se caresse devant la vitrine (moi j'aimerais que ce soit un homme qui se caresse) ...

Y'a un rapport (un lien) vous ne le voyez juste pas ! C'pas grave ...