Infantilisants, les paniers de Noël ?

Que faisait-elle avec ?

Je me garde une p'tite gêne pour ne pas répondre à cette question.

C'est dire que les 2 extrêmes existent. Je trouve inacceptables les gens qui profitent d'un système alors qu'ils sont capables de subvenir à leurs besoins. Et de l'autre côté, ceux qui sont finacièrement dodus et qui viennent prendre dans les centres d'entraide ce qui ne leur revient pas. Des "ménagés" qui mangent de la baloney pis qui roulent en jaguar ben là, c'est psychiâtrique le problème là. Du moment qu'ils magasinent pas au centre d'entraide!

Suite à l'histoire que j'ai su concernant le centre d'entraide de chez-nous, je n'ai pas redonné de vêtements. Je les offre directement à celles que je connais....elles n'auront même pas à les payer!!

Citation :

Bas-Saint-Laurent
Pénurie de logements à Saint-Marc-du-Lac-Long!
Presse Canadienne (PC)
10/01/2007 08h13

Une vingtaine de travailleurs originaires de Colombie, en Amérique du Sud, viennent à la rescousse de l'ardoisière Glendyne, de Saint-Marc-du-Lac-Long, dans le Bas-Saint-Laurent, pour combler les besoins de main-d'oeuvre de cette entreprise.

Glendyne emploie actuellement 321 personnes, comparativement à 275 en 2005. La compagnie a investi 5 millions $ pour l'automatisation de ses installations.

Texte complet,:

http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/01/20070110-081330.html

Pourquoi les Colombiens changent de continent pour travailler ? PCQ ils ont faim. Quand les pauvres auront faim ils feront qq hrs de voiture pour manger.

Tiens donc, les Colombie se déplacent à l'autre bout de l'Amérique pour travailler. Nous nos BS ne déplacent que pour aller au dépanneur!

Vie de BS = Beaucoup de

Peut de :

Pas de danger, on leur offre la possibilité d'être mieux sur le BS qu'au travail. Les conditions de "travail" d'un assisté social sont meilleures qu'un travailleur!! Ensuite de ça, à force de ne rien faire, j'imagine qu'on prend l'habitude!!

Et pourtant, ce ne sont pas les jobs qui manquent dans la région de Québec...



Québec: des pages et des pages d'emplois


23 janvier 2007 - 09h06

Le Soleil

Gilbert Leduc

Pas une. Pas deux. Pas trois. Dix-neuf pages de jobs. Plus de 200 postes à combler. La section Carrières du journal Le Soleil de samedi dernier illustrait toute la vitalité du secteur de l'emploi à Québec.

Et il ne s'agissait pas d'un coup du hasard.

Une semaine plus tôt, dans son édition du 13 janvier, le quotidien de la capitale se faisait le relais d'une centaine d'employeurs en quête de main-d'oeuvre. Plus de 170 postes disponibles y étaient annoncés.

Ces chiffres ne constituent que la pointe de l'iceberg.

Hier (lundi), le site d'Emploi-Québec (emploiquebec.net) affichait plus de 3100 postes disponibles dans les régions de Québec et de Chaudière-Appalaches.

Avec une pleine page dans Le Soleil et dans La Presse, une jeune entreprise de Québec annonçait, samedi, qu'elle était à la recherche de près d'une vingtaine de nouveaux employés.

«De l'étape de la recherche et du développement, nous passons maintenant à celle de la commercialisation», signale Éric Bergeron, président et chef de la direction d'Optosecurity. Née en 2003, l'entreprise a conçu un système de détection d'armes et d'explosifs destiné aux aéroports.

S'il reconnaît que la région possède un bon bassin de techniciens et de scientifiques, M. Bergeron constate qu'il y a rareté du côté des spécialistes de la vente et du marketing.

«Il va falloir aller débaucher des talents ailleurs et être en mesure d'offrir des conditions concurrentielles», mentionne-t-il en soulignant que deux des personnages clés de l'entreprise arrivaient directement d'Hamilton et d'Austin au Texas.

Honco, de Saint-Nicolas, est aussi en mode recrutement. Elle recherche des gérants de projet, un estimateur, des dessinateurs et un conseiller en gestion des ressources humaines.

«Nous avons décroché de gros contrats pour l'étranger», explique Carole Lacasse, directrice des ventes et du marketing, en soulignant que l'entreprise spécialisée dans la fabrication de bâtiments d'acier devait non seulement déployer de multiples stratégies pour recruter du personnel, mais elle devait également chercher à garder ses salariés, puisque plusieurs d'entre eux se font faire les yeux doux par d'autres employeurs intéressés à les débaucher.

«Le recrutement est très difficile», constate Marie Lamontagne, vice-présidente au développement et au marketing chez SSQ Assurances générales, une compagnie qui connaît un taux de croissance annuel variant entre 10 % et 15 %. Le nombre de finissants dans le secteur des assurances ne suffit pas à répondre aux besoins du marché.

SSQ Assurances générales recherche des analystes, des directeurs en indemnisation et des experts en sinistres. Selon elle, la principale difficulté est le recrutement de candidats capables de converser en anglais.

http://www.lapresseaffaires.com/article/20070123/LAINFORMER/701230531/5293/CPSOLEIL

Le type d'emplois ci-haut mentionnés demandent un minimum d'études dans certains cas. Plusieurs personnes sur l'assistance sociale n'ont pas les études requises à ces genres de jobs. Les assistés sociaux instruits ne sont pas légion, du moins je l'espère!!

Tout de même, y'en a de l'ouvrage. Qui veut s'en trouver trouve. Le problème ce sont les emplois à salaire minimum qui, finalement, raportent moins que le chèque parfois compte tenu des avantages proposés par l'aide sociale (les dents, les lunettes, les médicaments,etc.) Ils ont une excellente assurance collective! Ça vaut de l'argent ça.

Il existe des entreprises dans lesquelles le gouvernement subventionne une partie du salaire pour permettre à certaines gens de réintégrer le marché du travail dans des conditions acceptables, des conditions qui peuvent un ti brin encourager les gens à ne pas retourner à l'aide sociale.
Le fait est qu'il faille accepter de travailler à un salaire très moyen et avec, parfois, des personnes ayant un petit handicap. Mais quand même, il y a une entreprise de ce type dans mon coin et plusieurs des personnes qui y travaillent y restent sinon ils ne travailleraient pas. Y sont bien traités, font des heures convenables et bénéficient d'avantages correctes.

Juste pour la fierté ou la valorisation, y'a des pères de famille qui acceptent de faire un régime de vie ben ordinaire en acceptant de travailler en usine à salaire pas très élévé. J'imagine que si c'est bon pour eux, ce doit être bon pour d'autres aussi...

C'est vrai que ces postes réclament une certaine formation. Par contre, tu oublies que le gouvernement offre des formations aux bénéficiaires et à nos frais, madame!

Oui, mais ils ne retournent pas les gens sur les bancs des univesités tout de même. Si c'est comme les programmes de l'assurance chômage, on les dirige vers le professionnel (DEP, ASP). En tout cas, on est d'accord pour dire que quelqu'un qui veut travailler peut le faire.