Histoires reliées aux écoles

Citation :

La plupart du temps, les profs, les élèves, les parents savent qui est la tête de turc de l'école et dans la majorité des cas, tous ce beau monde intervient quand il est trop tard, quand le jeune a sauté les plombs.

Faux. Les profs sont très à l'affût des boutades, des bousculades, des jérémiades ou des actes de violence des élèves. Ils ne laissent pas passer ce qui apparaît comme de l'intimidation envers qui ce soit. Il y a immédiatement sanction.

Ça peut varier de l'expulsion du local à la suspension pour quelques jours, et parfois même, à l'expulsion de l'école. Avant d'en arriver à cette dernière sanction ultime, le dossier est évalué, l'élève est rencontré avec les parents, le tuteur et le(s) prof(s) concerné(s), et une décision est prise en fonction de la gravité.

Personnellement, je ne tolère aucune violence à mon égard, aucun irrespect, ni envers moi, ni envers aucun autre élève. Je ne suis pas la seule.

Par contre, selon les directions d'école, il peut y avoir plus de tolérance, et cela pour diverses raisons. J'ai quitté une école justement parce que malgré le fait que les règles étaient clairement établies à cet effet, les jeunes délinquants, malgré des comportements inacceptables, revenaient en roi et maître au centre de leur royaume. J'ai décroché de cette école et je ne suis pas la seule. L'an dernier, plus de la moitié des profs de cette école ont réclamé un changement d'école. En presque 20 ans de carrière, c'est très rare et je n'avais jamais connu ça avant. En fait, c'est la seule fois.

Somme toute, dans l'ensemble, les profs réagissent vivement, savent très rapidement qui veut dominer qui, qui est rejet, et mettent en place des actions et des ressources pour éliminer les problèmes.

Citation :

Saint-Hubert
Rixe parents-élèves dans une cour d'école
Michel Larose
Le Journal de Montréal
29/04/2007 08h32


Des adultes ont participé à une bataille impliquant une vingtaine de personnes vendredi midi dans la cour d'école anglophone secondaire Heritage, à Saint-Hubert.

La rixe survient deux jours après le triste événement de Trois-Pistoles, où un enfant est mort à l'école après avoir reçu un coup de poing à la tête.

Vendredi, trois personnes ont été blessées, souffrant d'ecchymoses mais sans gravité.

Selon notre source, le père d'un enfant témoin de l'événement (nous tairons l'identité en vertu de la loi de la protection de la jeunesse), neuf adultes se sont cachés dans une auto et dans une fourgonnette.

«Un père aurait voulu venger son enfant souvent ridiculisé par un groupe d'élèves. Il aurait amené ses amis. Ils sont sortis soudainement de leur véhicule pour aller leur donner une leçon», soutient-il.

En répondant à l'appel à l'heure du midi, les policiers croyaient avoir à séparer une dizaine de jeunes, mais à leur surprise, le groupe était plus imposant.

Autre surprise: des adultes prenaient part à la rixe, a confirmé le capitaine Jean-François Robert de la police municipale de Longueuil.

«Nous avons arrêté un adulte qui sera accusé de voies de fait et un mineur», a dit le capitaine.

Il a toutefois refusé d'expliquer les motifs de cette bataille.

«L'enquête n'est pas terminée, il y a une dizaine de suspects», a précisé l'officier.

Le directeur intervient

Selon notre source, les membres de la direction sont vite intervenus pour séparer les belligérants.

Plusieurs des suspects auraient fui avant l'arrivée des policiers.

L'école, autrefois MacDonald-Cartier, est située sur le chemin Chambly.

Joint au téléphone hier, le directeur de l'école, Ken Scott, a refusé de commenter l'affrontement. «Notre porte-parole est le directeur général Kevin Lukian de la commission scolaire Riverside.»

Joint hier après-midi sur son téléphone portable, M. Lukian n'avait pas rappelé Le Journal de Montréal en soirée.

Bon ben maintenant, dans les programmes de prévention, faudra aborder le risque qu'un parent vienne à la défense de son kid à l'école.

Essaie de transmettre des valeurs pacifiques à des élèves quand des parents réagissent comme ça!

C'est un problème que j'ai connu pendant ma courte période d'enseignement...les parents qui sont du côté de leur enfant sans savoir le court et le long de l'histoire. Pas facile de gérer de tels cas. Pis souvent, le prof est dans le tord avant même de vouloir intervenir.

Je pense qu'il faut revenir avec certaines valeurs qui existaient y'a 20 ans ou plus.
On devait vouvoyer nos professeurs pis je ne sais trop comment mais le directeur nous faisait "peur" dans le sens où on reconnaissait son autorité. J'ai l'impression que les jeunes d'aujourd'hui n'ont pas cette reconnaissance de l'autorité. Pis là, je remet en question le rôle éducateur des parents. Me mère m'a souvent dit d'être polie avec mes profeseurs et le directeur, d'écouter à l'école, de respecter les règles et les autres amis. Ceci dit, y'avait tout de même des bagarres à la récréation. Toutefois, quand le directeur sévissait, le parent ne venait pas plaider la cause de son enfant et lui donner raison à tout prix.

Je sais pas où réside la solution mais c'est clair qu'on a mis de côté certaines valeurs comme le respect.

Trop cute pour passer sous silence:

Citation :

La diplômée la plus âgée du monde

Associated Press

Hays, Arkansas

Une Américaine de 95 ans va devenir en mai prochain la diplômée la plus âgée du monde après avoir décroché un magistère d'histoire: Nola Ochs, qui détrône une étudiante de 90 ans inscrite au Guinness World Records, est repartie sur les bancs de l'école après la mort en 1972 de l'homme auquel elle avait été mariée 39 ans.

Au fur et à mesure des années, cette pimpante grand-mère a progressé, et à l'automne dernier, elle a quitté sa ferme pour un appartement à l'université de Fort Hays afin d'obtenir son diplôme.

Hasard du calendrier, elle va être diplômée en même temps que sa petite-fille de 21 ans. Avec ses cheveux blanc réunis en chignon, la nonagénaire est accueillie dans les couloirs par des sourires et des petits signes de tête. «Tout le monde m'a acceptée et je me sens comme n'importe quel autre étudiant», assure-t-elle. «Les étudiants me respectent».

...

L'article au complet:

http://www.cyberpresse.ca/article/20070428/CPINSOLITE/70428015/5406/CPINSOLITE

Tu sais quoi pimentfort, cette dame m'inpressionne plus que Lise Payette!!!

Citation :

Les profs sont très à l'affût des boutades, des bousculades, des jérémiades ou des actes de violence des élèves. Ils ne laissent pas passer ce qui apparaît comme de l'intimidation envers qui ce soit. Il y a immédiatement sanction.

Faux! Des parents m'écrivent encore aujourd'hui ne sachant plus quoi faire pour leurs enfants victime de bullying . Il y a eu quelques petits changements ici et là, mais trop peu ....

Il est faux de dire que dans l'ensemble les profs réagissent, on parle d'exception ! Désolée mais c'est la triste réalité.

Inquiétant de penser que des parents vous consulte.

Ciel une vraie bitch ! C'est votre côté féminin ça ...


C'est votre avis ... Et ma foi je n’en ai rien à cirer. Je ne vis pas selon les vanneries de forum. Je prends vos grosses niaiseries comme un gros compliment.

Cela dit, ce ne sera pas la première fois que je vous vois dire ce genre de conneries plates du désespéré. Vous l'avez déjà dit à Pimentfort qui doit être sois dit en passant une très bonne prof puisque selon vous, on ne devrait pas lui confiez des enfants ...

Je ne vous confierais même pas un chien! C'est peu dire ....

Ce qui m'inquiète moi, ce sont vos flèches empoisonnées que vous envoyez et que si, Oh malheur, on vous la retourne vous pleurnichez «n'écrivez plus ici et blablabla».

Alors à quoi bon s'en faire? Ça ne vous tente pas de passer à autre chose?

Ce que je trouve fabuleux chez-vous, c'est votre acharnement à toujours vous en prendre aux mêmes gens, ça frôle le harcèlement.

Mais revenons au sujet si vous le voulez bien. Vous n'avez pas eu d'enfants? Super ! Vous leurs auriez conseillé de se battre...

Citation :

Essaie de transmettre des valeurs pacifiques à des élèves quand des parents réagissent comme ça!

C'est ce que je disais. À force de parler dans le vide des parents en viennent à se faire justice eux-mêmes. C'est loin d'être rigolo et c'est de la pure bêtise.

Je dirais seulement que le pacifisme a ses limites.

Pimentfort, je vois que votre école a pris les choses en main, en mettant sur pied un protocole pour mettre fin à l'intimidation, bravo!

Un parent qui décide d'aller dompter un kid à l'école est loin d'un prix Nobel! Y sont pas légion, du moins je l'espère, et ça ne dépend pas de ce que l'enfant entend à l'école en terme de discours pacifiste.

Se peut-il que les parents n'aient plus foi en l'école et ses intervenants? Se peut-il que l'école (en général) soit grippée??

Mon idée moi est que les profs et autres intervenants sont de plus en plus limités dans les possibilités d'intervention. Je pense que les parents ont la switch sensible au point de favoriser la version de leurs enfants plutôt que de considérer celle des intervenants de l'école.

Citation :

Mon idée moi est que les profs et autres intervenants sont de plus en plus limités dans les possibilités d'intervention. Je pense que les parents ont la switch sensible au point de favoriser la version de leurs enfants plutôt que de considérer celle des intervenants de l'école.

La switch sensible? Peut-être ...

Cependant, y'a des enfants qui se font pisser dessus. Y'a des enfants qui se font cracher dessus. Y'a des enfants qui se font mettre des déchets dans leurs lunchs. Y'a des enfants qui se font rentrer dans les cases, un p'tit coup par ci un p'tit coup par là... à tous les jours

Y'a des enfants pour qui l'intimidation dure depuis des années. Y'a des enfants qui abandonne l'école afin d'avoir finalement la paix. Y'a des enfants qui ont peur de parler. Y'a des enfants qui se font menacer. Y'a des enfants qui essaient d'être invisibles, qui frôlent les murs. Y'a des enfants qui n'osent même pas en parler, car ça dérange. Y'a des enfants qui subissent en silence. Y'a des enfants qui sont des bombes à retardement ...

On voudrait tous que ça aille sur des roulettes. C'est chiant les problèmes d'intimidation.

Les ''cas problèmes'' sont souvent les victimes, ça dérange, tout l'monde est tellement occupé. Y'a des enfants qui se sentent seuls. Ils ne désirent qu'une seule chose, ne plus être le centre d'intérêt de qui que ce soit, ni des profs, ni des parents.

Y'a des enfants qui n'ont pas tous la shape de Hulk Hogan!

Y'a des enfants qui se font humilier à longueur d'année. Y'a des enfants qui n'oseront pas dire qu'ils se font traiter de tapettes, de laiderons, de puants de tous ce que vous voulez. C'est humiliant d'avouer ça ... Ils en viennent à croire qu'ils sont tous ça et qu'ils ne valent pas la peine qu'on s'occupe d'eux!

Trop souvent, quand il y a une intervention des intervenants, c'est que ça dure depuis très longtemps ! Majoritairement, ce sont des garçons ...

Y'a des enfants qui disent en revenant de l'école, que tout va bien pour fuir tout ça ! Pour avoir la paix. Pour ne plus en parler, pour ne plus revivre le cauchemar.

C'est aussi ça la réalité ... ça change oui, mais à pas de tortue !

Y'a des adultes qui diront toujours, «c'pas grave cé des enfants, i va apprendre à prendre sa place» ou pire encore «y va apprendre à se défendre, awèye maudit défends-toé»

Quelle place ? Se défendre contre combien?

Y'a des adultes qui diront toujours «y'a un problème d'estime de soi»

J'aimerais tellement les voir passer par où certains enfants intimidés passent. Je ne donne pas cher de leur ''estime de soi''. L'enfant aura beau avoir un estime de soi en béton qu'il la perdra à force de se faire intimider.

Y'a des enfants qui ne souhaiteraient pas ça à personne, même pas à des adultes dans leurs milieux de travail ... mais c'est vrai eux ont des recours !

PeuImporte a écrit:

...Je dirais seulement que le pacifisme a ses limites.

Pouvez-vous développer ?

Certainement,

Ça s'adresse surtout aux parents. Il faut parfois aller plus loin que les programmes communautaires ou le protocole de l'école sur l'intimidation.

Il ne s'agit nullement de conseiller à un enfant de se défendre par la violence.

C'est de ces parents là dont je parle, ceux qui ont des kids harceleurs....ils ont la switch sensible. J'en ai connu moi, des radotteux de liste de droits...."si tu touches à mon gamin, si te lu punis, ma va m'occuper de ton cas. Pire, on s'est occupé de mon cas! Sont pas rares ces parents là pis ces arguments là. Comment remettre le kid dans la bonne voie dans des cas comme ça? Le jeune à ses parents de son côté. À part foutre le jeune dehors.....

Les parents ne sont pas toujours les meilleurs collaborateurs.

Citation :

Les parents ne sont pas toujours les meilleurs collaborateurs.

Normal, ils sont dépassés et envahis par toutes sortes d'émotions. Ils ne sont pas objectifs. Il est cependant faux de croire que tous les parents d'enfants intimidés et d'intimidateurs ne collaborent pas. Allez rencontrer un directeur d'école en essayant de lui parler de votre enfant intimidé n'est pas une mince affaire. Aller lui dire que vous porterez plainte si jamais ça recommence, encore moins. Bonne chance ...

Je dirais plutôt que ce sont parfois les intervenants qui vendent leurs maudites salades psychologiques qui fait en sorte que le problème perdure.

Foutre l'enfant dehors? S'il récidive? J'imagine qu'il aura été mit sous surveillance, qu'il aura eu quelques chances et des directives claires et précises avant d'en arriver là.

Citation :

Le lundi 30 avril 2007

INDICE RELATIF DE BONHEUR

Les patrons plus heureux que leurs employés

Gilbert Leduc

Le Soleil


Les boss, les retraités et les enseignantes sont, dans l'ordre, les gens les plus heureux selon un sondage mené par l'institut l'Indice relatif de bonheur (IRB). Aux derniers rangs du palmarès figurent les cuisiniers, les publicitaires, les camionneurs, le personnel de soutien, les caissières et les sans emploi.

Entre le 14 novembre 2006 et le 26 avril 2007, l'IRB a sondé pas moins de 11 759 personnes représentant plusieurs professions pour savoir s'ils sont heureux.

Ainsi, les personnes qui assument des postes de direction occupent la première place du palmarès dévoilé hier à la veille de la journée internationale des travailleurs. Elles présentent un indice relatif de bonheur moyen de 80.

Les boss devancent les retraités (78, , les enseignants (78,6), les comptables (78,4), les gérants (78,1) et les agentes d'information (78,1).

Selon l'IRB, la première position des personnes occupant des postes de direction peut s'expliquer l'atteinte, complète ou partielle, de quatre éléments fondamentaux liés à la vie professionnelle soit la responsabilité, la reconnaissance, la réalisation de soi et la rémunération.

Quant à la deuxième position occupée par les retraités, l'IRB se montre peu surpris. «Il s'agit d'une énième occasion d'affirmer que l'âge du bonheur correspond à celui de la retraite», philosophe l'IRB. «En paix avec eux-mêmes, les retraités affichent une spiritualité ainsi qu'une sérénité que les plus jeunes cherchent encore.»

L'institut juge «rafraîchissante et rassurante» la troisième position détenue par les enseignantes. «On dit souvent que l'enseignement est une vocation. Et qui dit vocation dit passion. Or, la passion est une source pure de bonheur.»

Pour lire tout l'article :

http://www.cyberpresse.ca/article/20070430/CPSOLEIL/70430135/5019/CPSOLEIL

Citation :

Le mardi 01 mai 2007


Arrêté pour avoir menacé de tuer un professeur

Sylvain Desmeules

Le Soleil

Collaboration spéciale

Baie-Saint-Paul


Un élève de cinquième secondaire de la Polyvalente Saint-Aubin de Baie-Saint-Paul, dans Charlevoix, a été arrêté par la police après avoir proféré des menaces de mort envers un professeur.

C’est la direction, mise au courant des propos tenus par le jeune homme de 17 ans, qui a réagi. « Les propos nous ont été rapportés et ça nous inquiétait. On a été très préventifs dans cette histoire », a expliqué la directrice générale de l’école, Martine Vallée, qui ne souhaitait guère élaborer sur l’incident avec les médias.

Le garçon a comparu lundi au palais de justice de La Malbaie devant le Tribunal de la jeunesse. De toute évidence, son état nécessiterait des soins psychologiques et son cas fait actuellement l’objet une évaluation médicale avant de revenir devant le juge. Le porte-parole de la SQ, Richard Gagné, a confirmé ces informations.

Les menaces de mort en question ne se sont jamais rendues aux oreilles du professeur visé. Il a été mis au courant par la direction, qui avait jugé suffisamment sérieux les propos de l’étudiant pour confier le dossier aux policiers, lesquels ont procédé à son arrestation le 28 avril.

L’affaire a été assez importante pour déployer une stratégie d’intervention. Tout le personnel a été convoqué lundi matin, avant le début des cours, « pour élaborer un plan d’intervention solide et, à ce chapitre, ce fut une journée exemplaire pour les enseignants et les jeunes », a relaté Mme Vallée, visiblement fière de la réaction de son école.

Saint-Aubin est une petite polyvalente, fréquentée par 590 élèves de la première à la cinquième année du secondaire. Plus d’une soixantaine d’employés y travaillent, dont 40 enseignants.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070501/CPSOLEIL/70501201/5133/CPSOLEIL

Citation :

Quant à la deuxième position occupée par les retraités, l'IRB se montre peu surpris. «Il s'agit d'une énième occasion d'affirmer que l'âge du bonheur correspond à celui de la retraite»,

On perd sa vie à la gagner.

Citation :

Le mardi 01 mai 2007
Arrêté pour avoir menacé de tuer un professeur
Sylvain Desmeules
Le Soleil
Collaboration spéciale
Baie-Saint-Paul

Un élève de cinquième secondaire de la Polyvalente Saint-Aubin de Baie-Saint-Paul, dans Charlevoix, a été arrêté par la police après avoir proféré des menaces de mort envers un professeur.

....son état nécessiterait des soins psychologiques et son cas fait actuellement l’objet une évaluation médicale avant de revenir devant le juge.

Les menaces de mort en question ne se sont jamais rendues aux oreilles du professeur visé. ......

L’affaire a été assez importante pour déployer une stratégie d’intervention. Tout le personnel a été convoqué lundi matin, avant le début des cours, « pour élaborer un plan d’intervention solide et, à ce chapitre, ce fut une journée exemplaire pour les enseignants et les jeunes », a relaté Mme Vallée, visiblement fière de la réaction de son école.

Son heure de gloire était arrivé. Je parle bien sur de la directrice d'école.
Astie qu'elle devait être exité par le branle bas de combat.
Il n'y avait pas d'autres facons de réagir auprès d'un désiquilibré ?

http://www.cyberpresse.ca/article/20070501/CPSOLEIL/70501201/5133/CPSOLEIL[/quote]

La direction a-t-elle rencontré le jeune en question avant de porter plainte?

Les parents ?
"La Direction de l'école" c'est Mme Vallée en passant.

La stratégie d'intervention: est-elle venue avant ou après l'arrestation? Quel était le but de cette stratégie? Le jeune a été arrêté pour avoir proféré des menaces de mort auprès d'un professeur, le dit professeur n'étant même pas au courant de ces menaces, en fait toute l'école semblait au courant de cela sauf le principal intéressé. Il manque des éléments dans cette nouvelle. On dirait une affaire montée en épingle, qui a été exagérément grossie et on a pris les grands moyens pour arrêter le jeune fautif. Je suis probablement dans le champ...

Avec tout ce qui est montré à la télé, il semble que les intervenants des écoles aient le piton sensible. C'est pas nouveau de cette année ce genre de situation, c'est la méthode qui change. On sévissait autrement avant me semble.

Citation :

Avec tout ce qui est montré à la télé, il semble que les intervenants des écoles aient le piton sensible.

Tant mieux non?

Citation :

... c'est la méthode qui change.

De plus en plus grandiose et dangereux ...

Remarque qu'aujourd'hui on pète et ça se retrouve dans les journaux, pire encore à la télévision avec image en boucle.

C'est quoi cette fascination qu'on les gens face aux médias? Pourquoi ils s'exposent autant? Mettez-moi un micro dans la face si jamais je perds un être cher, vous êtes sur de le bouffer votre micro ou votre calepin.

Citation :

On sévissait autrement avant me semble.

Ouep, un bon feu de poubelles ou un bon gros bouchage de toilette, afin de faire évacuer l'école c'est ce qu'on faisait de pire dans mon temps ...